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La publicité moderne, quelques modes bizarres de publicité (1906)

Un nouveau texte issu de la revue “La Publicité” et paru en 1906.

La publicité s’est tellement imposée aujourd’hui que l’on s’est ingénié à trouver des formes nouvelles sous lesquelles l’employer. Les moyens quelquefois les plus bizarres ont été employés, pas toujours heureux, mais ils ont souvent aussi eu le don d’arrêter le public.

On se souvient encore de la voix tonitruante qui, il y a quelques années, sur le boulevard invitait les passants:

« Ne partez pas sans lire le Grand Journal ! »

Citons aussi pour mémoire le cas du roman-feuilleton que publiait jadis la Presse: il passionnait ses lecteurs qui attendaient anxieusement la confession de l’un des personnages Ferringhea.

Les murs de Paris furent un jour couverts , d’affiches:

« Ferringhea va parler ! » bientôt suivies d’autres où l’on annonçait:

«Ferringhea a parlé! »

C’était un coup de théâtre d’un des maîtres es publiciste, Emile de Girardin.

Nos lecteurs n’ont point oublié non plus ces promeneurs se suivant en file indienne et disant chacun un mot séparé d’une phrase vantant les complets d’un tailleur, ou ces deux promeneur bras dessus, bras dessous passant devant les terrasses de café et paraissant causer amicalement, tandis qu’ils se recommandaient en réalité à haute et intelligible voix les vertus de tel ou tel tonique.

Je crois que les règlements de police durent mettre fin à cette publicité parlante qui devenait un ennui pour le public.

Se souvient-on aussi des fiacres-réclames à tarif réduit, qui n’eurent, il est vrai que très peu de succès ?

Les hommes-sandwiches ont été affublés des costumes les plus variés et dont la nomenclature serait un peu monotone.

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A Londres, il y a quelques années un annoncier avait mis un crâne postiche et complètement dénudé à un certain nombre d’hommes-sandwiches convenablement vêtus et qui, se rencontrant dans les rues très passagères, se saluaient en retirant gravement leur chapeau. Aussitôt le « genou » apparaissait portant en lettres noires la réclame de l’annoncier.

A Londres aussi une autre maison avait fait inscrire sa réclame avec une solution phosphorescente à la semelle des bottines de sandwichmen, et ceux-ci, en parcourant les rues, le soir, laissaient leur empreinte phosphorescente sur le pavé.

Longtemps aussi, dans la métropole anglaise, les lampes extérieures de certains magasins portaient à leur partie inférieure une plaque de verre portant une annonce. La lumière portant dessus faisait lanterne magique et la réclame se trouvait ainsi reproduite à terre sur le pavé.

Les réclames-vivantes en vitrine ont aussi eu un certain succès en Angleterre. Notons principalement celle d’une eau pour faire repousser les cheveux. L’annoncier avait loué plusieurs magasins dans les vitrines desquels se trouvaient plusieurs jeunes femmes vues de dos, assises, et dont la luxuriante chevelure défaite attirait tous les regards. La police dut intervenir et arrêter cette publicité qui causait des rassemblements empêchant le trafic dans les rues.

Elle fut aussi appelée à interdire les femmes-sandwichs qu’un autre annoncier avait eu l’idée ingénieuse de lancer par les voies passagères.

Inutile de dire que les jeunes femmes étaient choisies parmi les plus jolies, et que, peu farouches, elles répondaient aux lazzis du public, et l’on dut mettre fin à ce petit scandale des rues.

Les Américains, eux aussi naturellement, ont employé de très bizarres moyens de publicité qu’il serait trop long d’énumérer.

En voici un, toutefois, dont l’originalité n’échappera à personne.

Il existe en Amérique des professeurs de perroquets qui enseignent des bouts de phrases à ces oiseaux, dans les principales langues vivantes, de façon à les vendre à leurs clients de nationalité étrangère. C’est même, paraît-il, une profession très lucrative.

L’un de ces professeurs eut l’ingénieuse idée d’apprendre à ses perroquets des phrases vantant tel ou tel produit et de les vendre à des négociants qui plaçaient leur cage sur leur comptoir, et à journée faite l’oiseau ne cessait de répéter la réclame apprise.

Aujourd’hui les perroquets sont remplacés par des gramophones qui, entre deux airs, s’arrêtent un instant pour lancer à la clientèle la réclame d’un article quelconque. C’est là encore un nouvel usage de cet instrument nasillard éminemment agaçant et dont l’emploi tend aujourd’hui à trop s’imposer.

Il est certainement beaucoup d’autres méthodes bizarres de publicité, mais nous devons nous borner.

Cependant, il faut rappeler les hommes sandwichs garnissant au complet les impériales d’omnibus Madeleine-Bastille et tenant chacun verticalement sur leurs genoux de hauts tableaux couverts de grosses lettres dont la juxtaposition fournit un mot de réclame, facilement lisible à l’approche de la voiture ainsi transformée à sa partie supérieure, en palissade roulante.

Une mention doit être réservée au gentleman impeccable qui s’installait invariablement au premier rang des terrasses des grands cafés, se découvrait cérémonieusement pour laisser voir aux consommateurs ébahis le mot « BYRRH » peint en lettres rouges et noires sur son occiput merveilleusement tondu.

Il y a encore les dandys en pardessus mastic que l’on rencontrait tous les soirs du boulevard Montmartre au boulevard des Capucines faisant apparaître par intermittences une inscription lumineuse découpée dans la peluche de leurs huit-reflets.

Au cours de cette énumération des moyens bizarres de publicité nous devons signaler l’originalité des phrases protéiformes que l’électricité inscrit chaque soir en lettres de feu pour le compte d’une prochaine loterie.

Pour être moins dramatique cette annonce, d’une agence anglaise n’en a pas moins de saveur.

« Les dames ayant des relations dans la bonne société peuvent se faire de gros revenus en lançant dans la conversation, certains sujets qu’on peut facilement et naturellement introduire dans les entretiens ordinaires. Les offres seront examinées avec la plus grande discrétion ».

L’Américain, au contraire, semble rechercher les gros effets et les animaux deviennent parfois leurs collaborateurs.

C’est ainsi qu’il y a quelques semaines on pouvait voir déambuler par les rues de Chicago un troupeau de cent porcelets « imprimé tout vif : chaque animal portant sur ses flancs cette légende en lettres rouges : Les saucissons de porc défient toute concurrence! »

Enfin, pour finir, citons ce cordonnier de Boston qui, à chaque acheteur d’une paire de chaussures, offre, à titre gracieux, une paire de caoutchoucs… dont la semelle porte en relief, l’assurance que « les chaussures de Untel sont inusables ». affirmation qui s’imprime d’elle-même sur le sol à chaque pas du porteur de caoutchoucs.

H.-R. Woestyn.”

Source : revue La Publicité moderne. Revue mensuelle, [s.n.?] (Paris), 1905-1909, Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-V-6791

Publicité : Paris New-York vue en 1906

Un article de 1906 sur la publicité comparée à Paris et à New-Yok.

“Les deux méthodes : New-York et Paris

« L’habileté dit commerçant ne consiste pas en manière de publicité à amuser ou à surprendre la clientèle « qu’il recherche par la bizarrerie de ses clichés ou le bluff de ses brochures, il lui faut, au contraire, grâce à une présentation agréable et lisible, retenir et convaincre le lecteur par la logique brève et précise « d’arguments sincères: et irréfutables. »

Il fut souvent parlé à cette place de la publicité américaine et des gains appréciables que réaliseraient, en s’en inspirant, les commerçants ou industriels français.

Cependant, avant que d’engager nos compatriotes dans son application intégrale, il y a lieu de faire quelques réserves et d’insister sur les différences profondes et diverses qui apparaissent à nos yeux, si nous faisons la comparaison de ces deux pays si disparates.

Certes, les méthodes américaines employées en publicité ont droit à toute notre approbation et nous ne pouvons que souhaiter leur prompte adaptation aux moeurs commerciales françaises.

Contrairement à ce que l’on en dit, le bluff est proscrit de l’annonce américaine. « Soyez toujours au dessous de la vérité dans l’énumération des qualités de vos produits », conseillent les spécialistes des États-Unis, « employez dans la rédaction de vos textes des termes simples et convaincants mais surtout qu’ils s’appliquent à des objets ou marchandises de premier choix qui vous assureront pour l’avenir une clientèle d’élite. »

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Voilà dé sages paroles qui peuvent nous surprendre mais qui, mises en pratique, ont donné à la publicité une autorité incontestables.

Grâce à l’application de ces préceptes, elle est arrivée à produire de merveilleux résultats qui laissent bien loin derrière eux, toutes proportions gardées, le rendement des annonces françaises. 11 faut toutefois reconnaître que ces dernières furent en partie, durant de longues années l’apanage de flibustiers qui s’ingénièrent à exploiter la bonne foi de lecteurs trop confiants. Pour la publicité française, l’heure n’est pas encore venue où la totalité des journaux exigeront de leurs annonceurs des pièces établissant leur honorabilité et des garanties concernant leurs produits. Nous devons le regretter car le rendement des annonces augmenterait dans des proportions telles que le nombre des annonceurs sérieux ne serait pas longtemps à suivre !e gros de leurs prédécesseurs ; méfiant et averti, le lecteur français se montre assez fréquemment circonspect à l’égard des avantages qui lui sont offerts, ce n’est pas sans raison.

I1 existe nombre de magazines américains où des commerçants mal notés ne pourront jamais annoncer leurs marchandises et il en découle pour ces derniers un manque de recettes appréciables qui n’est pas sans donner à réfléchir à ceux qui seraient tentés de suivre cet exemple.

Depuis de longues années, depuis même toujours, la publicité a conquis droit de cité dans la libre Amérique et, dans les bilans commerciaux, elle figure au même titre que les frais de personnel ou l’entretien du matériel. Elle est aussi l’objet de nombreuses études et le fruit d’observations psychologiques.

L’établissement d’un budget est pour le commerçant américain une chose grave et minutieuse où n’entrent pour rien le népotisme, les relations mondaines et les considérations sociales.

Il existe des règles fondamentales très précises dont le négociant ne se départira pas car il sait que les théoriciens ne les ont émises qu’après le résultat favorable d’expériences nombreuses et probantes.

Voilà, indiquée dans ses grandes lignes, la situation de la publicité en Amérique dont l’on devrait adapter les méthodes à notre vieille organisation commerciale française qui, toute défectueuse qu’elle puisse paraître, doit être avant tout respectée quant à sa base.

En économie comme en politique, il nous faut tenir compte du milieu dans lequel nous vivons et les transactions elles-mêmes sont soumises pour assurer leur bon fonctionnement, à l’influence des besoins créés par les mœurs, le climat et le régime d’un pays.

L’Amérique du Nord est une contrée neuve qui doit la spontanéité de son existence à la science et au progrès.

Dans ses centres commerciaux et industriels dont les plus importants ne sont pas même encore centenaires et que des distances énormes séparent les uns des autres, les fortunes se font et se défont avec une stupéfiante rapidité.

Basées sur la spéculation la, plupart de ses maisons réunissent sous leurs firmes des groupements d’individus.

De plus, composée des éléments les plus divers, sa population descend uniquement de gens hardis et aventureux, venus dans ce pays prodigieusement fécond pour se créer une fortune ou refaire celle qu’ils avaient perdue.

Empressés d’acquérir dans le délai le plus court, ils risquent avec audace et désinvolture les millions déjà acquis pour tenter d’obtenir des milliards.

L’Américain n’est pas comme le Français attaché à son sol, à sa patrie et nous estimons qu’il ne goûte la vie qu’en dehors de l’Amérique, cette foire gigantesque et permanente où, vu la distance du lieu où elle se tient, l’on aurait établi son camping le plus confortablement possible et, en prévision de la durée exigée par les transactions nécessaires à l’établissement d’une fortune libératrice. 11 est vrai que dans la suite l’Américain ne se retire pas, il voyage mais travaille — en dilettante, c’est vrai — mais il travaille parce que la spéculation est devenue une fonction naturelle de sa vie et parce qu’il dépense énormément. Son désir, du reste, est de pouvoir dépenser encore plus. Cependant sa valeur commerciale est indubitable, elle contient pour nous de précieux enseignements.

L’Américain est avant tout “businessman ” parfait, raisonné, travailleur, pratique, doué d’une force de caractère peu commune.

Le premier, il a introduit dans le commerce des méthodes, des règles, des principes, l’on peut même dire qu’il l’a élevé à la hauteur d’une science dont certaines ramifications, la publicité par exemple, reposent en majeure partie sur des études approfondies de la psychologie. En un mot, il a fait pour le commerce ce qu’il a fait pour de nombreuses autres choses il a emprunté au vieux continent en modifiant, en perfectionnant, et en agrandissant. En France la publicité fut connue de longue date mais comme ces articles allemands qui, importés en Angleterre reparaissent à Berlin avec une majoration de prix et une marque anglaise, c’est avec la publicité, retour d’Amérique, qu’il faudra tenter d’améliorer notre chiffre d’affaires. Cependant, il y a lieu si l’on veut s’éviter des déceptions, de ne pas adapter sans examen, à notre système commercial tout ce qui nous vient de l’autre côté de l’Océan.

II est vrai que même en’ le voulant, l’on ne le pourrait pas car il manque à nos annonceurs les sommes fantastiques des budgets de publicité américains.

Les fortunes de notre pays bien que moins considérables que les fortunes des milliardaires yankees ont été établies à force d’économie et de prudence selon des principes immuables d’honneur et de loyauté.

II y a en France toute une aristocratie commerciale à laquelle appartiennent des chefs de maison qui, avec un soin jaloux et scrupuleux, veillent au bon renom de leur firme souvent centenaire.

Plusieurs d’entre eux auraient volontiers consenti à se soumettre aux exigences de notre époque mais ils ont tenu à fuir la promiscuité des annonciers de la première heure auxquels je faisais allusion plus haut. Us ont craint ce voisinage pour la conservation du bon renom de leur maison.

Les inciter à faire de la publicité serait souvent prêcher des convertis qui s’abstiennent momentanément, retenus par Je fil tenu de petits préjugés.

Peu à peu la publicité s’implante dans lès mœurs commerciales françaises la quatrième page de certains journaux s’assainit, certains périodiques et certains quotidiens arrivent à atteindre des tirages dignes d’intérêts. Mais si l’Américain est enthousiaste et audacieux, le Français est raisonné et prudent, cette différence sera le mur contre lequel viendront se heurter tous ceux qui tenteront d’apporter brutalement dans nos mœurs économiques des changements profonds. Grâce à la science, à l’émulation, au progrès les temps ont marché : il nous faut marcher avec eux.

La France de 1906 avec ses nouveaux moyens de transport et de communication n’est plus la France du 18′”° siècle, elle s’est agrandie, émancipée et elle doit vivre selon son époque.

Si la production s’est accrue, les moyens d’en écouler le surplus sont créés, on doit y avoir recours. La publicité est un des principaux. Méthode nouvelle, elle créera des maisons nouvelles qui viendront annihiler les anciennes, si ces dernières se refusent à en faire usage, car il est un fait un fait indéniable c’est que, maniée avec prudence et raisonnement, appliquée selon le tempérament des gens auxquels l’on s’adresse et se Ion les milieux dans lesquels ils vivent,la publicité est un instrument puissant et profitable dont tout commerçant désireux de voir ses affaires prospérer, se devra à lui-même de faire usage.

ÉDOUARD DUPONT.”

Source : revue La Publicité moderne. Revue mensuelle, [s.n.?] (Paris), 1905-1909, Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-V-6791

Agence de Plv

Il est impératif aujourd’hui de faire appel à une agence spécialisée en PLV pour organiser une campagne marketing de qualité. Pour avoir un impact réel, elle doit être pensée et aménagée de manière professionnelle.

Qu’est-ce qu’une agence de PLV ?

Savoir mettre en valeur une promotion ou un produit n’est pas chose simple. Tout en subtilité, il faut conduire un client à l’achat. Pour cela, une agence spécialisée est l’interlocuteur idéal. Son but est de promouvoir l’offre en la valorisant, selon un univers précis. Ces professionnels vont mettre au point une campagne publicitaire juste et efficace.
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Les produits et les services proposés

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Agence de Plv : une équipe à votre écoute

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Publicité : Apple se fâche, la nouvelle garde des agences de pub, les captcha publicitaires

Vintage Ad #452: The Cat and the Corvette
photo credit: jbcurio

– Apple fait retirer une publicité montrant l’iPad

La firme n’a pas apprécié la campagne d’un journal américain et l’aurait menacé de supprimer son application de l’App Store…Quand Apple menace, la publicité trépasse…

Lire l’article : “Apple obtient le retrait d’une publicité mettant en scène l’iPad”


– Agences de publicité : la nouvelle garde

Le marché publicitaire français donnerait-il enfin sa chance aux entrepreneurs? Ces dernières années, seule Fred & Farid (fondée en 2006, avec l’appui de Vincent Bolloré) semble avoir crevé le plafond de verre, avec éclat…

Lire l’article : “Publicité : la poussée des nouvelles agences”


– Les nouveaux captcha seront publicitaires

Les futurs captcha, les codes d’identification veillant à écarter les robots spammeurs, seront publicitaires. La société new yorkaise Solve Media a présenté cette semaine cette nouveauté appelée “Type-In”….

Lire l’article : “Les nouveaux captcha seront publicitaires”