Tag Archive for consommation

Marketing : le consommateur-vengeur, Lotus Aqua Tube, la distribution multicanal

The Dark Knight European Premiere
photo credit: Cristiano Betta

Promos-pub a relevé pour vous dans l’actualité marketing…

– Le consommateur-vengeur ou l’affaiblissement des marques

Le consommateur-vengeur nourrit un nouveau rapport à la consommation, aux marques et à l’offre en général. Ses moyens d’action l’amèneront-ils à menacer puis renverser les marques ?….

Lire l’article : “Le consommateur-vengeur, talion d’Achille des marques”

 

– Street marketing : l’évènementiel selon Lotus Aqua Tube

Un convoi composé d’une SMART XXL et d’une SMART 3D affublées d’un rouleau LOTUS® AQUA TUBE™ géant inaugurera ce road show qui partira à la rencontre des consommateurs, pour leur remettre un échantillon produit accompagné d’un bon de réduction immédiat. Visibilité assurée pour la marque !….

Lire l’article : “Lotus Aqua Tube fait son road show”

 

– Réussir sa distribution multicanal

L’importance de la stratégie multicanal n’est plus à prouver tant, dans le domaine de la distribution que de la communication. Rendu possible grâce à l’émergence de nouvelles technologies telles qu’internet ou le smartphone, les stratégies multicanal marquent une tendance de fond dans le domaine de la distribution…

Lire l’article : “Les stratégies de distribution multicanal : quelle est la bonne option ?”

 

PLV : éveiller les sens, Adidas, les produits en lévitation

Billboard at London Bridge
photo credit: victoriapeckham

– Augmentez vos vente grâce au marketing sensoriel

Tous les points de vente font aujourd’hui appel aux sens et aux émotions pour prolonger l’expérience de consommation. Si l’ouïe demeure le sens le plus sollicité, d’autres, comme l‘odorat, s’intègrent durablement sur le point de vente….

Lire l’article : “Les sens au  coeur du point de vente”


Adidas invente le Tofomatic

Adidas innove en point de vente. La marque aux trois bandes cherche à attirer la cible des jeunes urbains en magasin. Un outil l’y aide: le Tofomatic….

Lire l’article : ” Adidas innove en point de vente”


– Et si vos produits entraient en lévitation ?

Démarquez-vous en points de vente grâce à une présentation originale et impactante de vos produits : la lévitation.Encore peu développée dans le secteur de la PLV, la lévitation offre pourtant de belles perspectives…

Lire l’article : “Nouveauté HIGHGY : présentez vos produits en lévitation”

Drugstore : 1947

A la découverte des Etats-Unis de la consommation en 1947

“Le « drug-store » est le centre de la vie sociale. On vient y retrouver sa belle, y acheter l’aspirine ou les mouchoirs de papier, les magazines et les sandales. Le « drug-store », comme son nom ne l’indique pas, est une pharmacie qui est aussi une épicerie, un bar, un droguiste, un marchand de journaux, une papeterie, un oculiste, une confiserie, une librairie, une parfumerie, une quincaillerie, etc.

« Vous ne vendez pas de parapluies? dit la dame. Mais alors pourquoi appelez-vous ceci un « drug-store? ». Là survit une civilisation encore indifférenciée, où le magasin général des pionniers offrait à sa clientèle exactement « tout » ce qui est nécessaire à la vie, les haches et l’alcool, les médicaments et la viande séchée, la dynamite et le linge. Le drug-store est le lieu du monde où l’homme voit donner réponse à tous ses besoins, satisfaction à tous ses désirs. L’Américain est l’homme du « drug-store », l’homme de la satiété. Le « drug-store » donne à celui qui y séjourne une sensation analogue à celle que peut ressentir le poussin pas né encore, au milieu de son œuf. Il ne manque de rien. Il suffit ici d’étendre la main (et d’avoir de l’argent) pour pouvoir boire, manger, s’habiller, se chauffer, lire, écouter de la musique, se soigner, regarder des images. Quand on entre dans un « drug-store » on franchit les limites d’un cercle magique où tous les sens voient leurs souhaits ensemble exaucés. Il y fait chaud l’hiver, frais l’été, on y désaltère les assoiffés, y panse les blessés, y divertit les ennuyés, y mélange les solitaires,, y amuse les regards vides, y nourrit les affamés. Le « drugstore » est une sorte de paradis nickelé, commercial et sommaire.”

Brent's
photo credit: NatalieMaynor

Claude ROY

Clefs pour l’Amérique Éditions des Trois-Collines Genève-Paris 1947

Consommation : USA 1950

Henri Troyat et la société de consommation américaine à la fin des années 1950

“Nous atterrîmes dans un bar automatique. Je glissai une pièce de cinq cents dans la fente d’un appareil, et l’appareil, s’étant raclé la gorge avec un grognement sourd, cracha dans ma main un sandwich enveloppé de papier cellophane. Un autre appareil me délivra, pour le même prix, un sandwich de matière différente, mais de même format. Enfin, tel Moïse faisant jaillir de l’eau d’un rocher, j’obtins d’un troisième appareil qu’il laissât couler un liquide sirupeux dans le verre que je présentais à ses lèvres nickelées. Le miracle accompli, je déposai mon butin sur un petit plateau et m’assis à côté de Boris et d’Olga qui avaient, de leur côté, raflé des nourritures à toutes les colonnes.

A l’usage, les sandwiches se révélèrent spongieux et fades. Je mâchais une nature morte , intermédiaire entre l’étoupe et la salade, le blanc d’œuf et la gomme à crayon. Les couleurs fraîches qui décoraient cet aliment passe-partout m’avaient trompé sur sa saveur véritable. Je fis la grimace. Boris éclata de rire :

  • Tu t’imaginais peut-être qu’on allait te servir de la cuisine de grand restaurant ?

Non, mais tout de même…

  • On ne vient pas ici pour manger, mais pour se nourrir, tu saisis la nuance ? Ce n’est pas un plaisir, c’est une nécessité. D’ailleurs, l’Américain moyen n’aime pas la bonne cuisine, les sauces mijotées, les soupes savantes, les vins fins.

    En matière gastronomique, la couleur lui tient lieu de saveur. Il éprouve du plaisir à mastiquer un beau rouge, un beau vert, un beau jaune, comme toi une bonne viande, un bon poisson, un bon croissant. Il a des yeux sur le bout de la langue. Ses papilles gustatives sont visitées par le nerf optique. Je ne sais si je me fais bien comprendre…

  • Tout de même, dis-je, s’ils veulent bien manger…

—- Ils vont au restaurant français, italien, Scandinave, russe ou même chinois…

Autour de moi, des consommateurs entraient d’une démarche hâtive, arrachaient aux appareils quelques victuailles solides, quelques gouttes d’eau glacée, de lait, de café ou de jus de fruit. Ils mangeaient vite, comme s’ils satisfaisaient un besoin honteux. Aux murs, pendaient des pancartes : « No smoking ».

  • Pourquoi ? demandai-je.

— Pour que les gens ne s’attardent pas après avoir mangé. Il faut que la machine tourne, que l’argent rentre…

  • Mais c’est affreux ! m’écriai-je. Personne donc, ici, n’éprouve -le besoin de perdre son temps, de rêvasser devant un verre, de mâcher un cure-dent avec philosophie ?

  • Personne.

  • Et si j’avais une heure libre dans la journée, où pourrais-je me réfugier ?

  • Au cinéma, à la bibliothèque nationale, dans le hall d’un hôtel, au musée…

De nouveau me venait à l’esprit la réflexion de Boris : chaque chose en son lieu. De toute évidence, le restaurant était un lieu pour manger, et non pour rêver, le bar un lieu pour boire, la bibliothèque un lieu pour lire, la rue un lieu pour marcher, le cinéma un lieu pour regarder des films. Il n’y avait pas à ; New York de lieu pour ne rien faire. La signification merveilleuse du bistrot français m’apparut alors tout entière.

Il y avait trois minutes à peine que nous avions fini de manger, et, déjà, les regards de la caissière, qui n’était là que pour changer la monnaie, et de la serveuse, qui n’était là que pour ramasser les assiettes, nous expulsaient de la salle. Je sortis le dos rond et allumai une cigarette sur le seuil de la porte, avec volupté.”

Henri TROYAT

La Case de l’oncle Sam Éditions de la Table Ronde

Marketing : marketing relationnel, marketing comportemental et marketing direct

My Chemical Romance Promo For Buzznet
photo credit: CodeZero

– Marketing relationnel : le marketing mobile et les réseaux sociaux

Thibaut Munier, dirigeant de 1000mercis, livre sa vision des grandes évolutions du marketing relationnel : la montée en puissance de la communication sur mobile, tirée par le succès de l’Iphone et la percée des marques sur les réseaux sociaux

Lire l’article : “2010 sera l’année de la montée en puissance du mobile et des réseaux sociaux”


– Marketing comportemental : Les consommateurs ont besoin de reconnaissance individuelle

Repenser la relation avec les  clients est devenue indispensable. La banalisation des médias interactifs et sociaux incite les entreprises à remettre à plat la manière dont ils recrutent et fidélisent leurs clients. Les retombées de la crise sur la consommation les y poussent aussi.

Lire l’article : “Repenser la relation avec les clients”


– Les investissements en marketing direct

Malgré une baisse en 2009, les investissements en marketing direct et relationnel représentent toujours près de la moitié des dépenses en communication des entreprises.

Lire l’article : “Baisse des investissements en marketing direct”