réflexions

Ilv : information sur lieu de vente

Dans le domaine du marketing, ILv est l’acronyme de « information sur le lieu de vente ».

L’information sur le lieu de vente, un outil incontournable

Ce sont tous les éléments de signalétique présents sur des lieux de vente et tendant à orienter les consommateurs dans un magasin qui entrent dans ce champ. Le but est de donner des informations pratiques, de diriger les clients vers les produits recherchés. Ainsi dans les centres commerciaux, les bornes digitales et les affiches sont-elles destinées à localiser les enseignes. C’est aussi le moyen de ne pas lasser les clients dans leurs recherches. Les visites sont agréables et ils trouvent aisément ce qu’ils cherchent. Dans un hypermarché, on utilise des kakemonos, affiches aériennes, généralement de format 80 x 12, suspendues au plafond. Visibles de loin, elles informent sur le détail des rayons ou les promotions de la semaine.

Ilv

Information ou publicité sur le lieu de vente, quelles différences ?

Les outils d’ILv et de Plv mis en place sur un lieu de vente sont souvent confondus mais ils ont des rôles bien distincts tout en étant complémentaires. PLv est l’acronyme de « publicité sur le point de vente ». Elle regroupe tous les moyens de communication commerciale utilisés sur un lieu de vente ciblant les consommateurs. Le but est de guider leurs choix et de stimuler l’acte d’achat. La PLv fait souvent fonction de mécanisme de rappel, le consommateur ayant été sensibilisé sur un produit au préalable par un message publicitaire diffusé différemment, par les médias ou sur support papier. Dans les grandes surfaces, alimentaires ou de bricolage, la PLv est mise en œuvre pour démarquer le produit de son environnement, pour signaler une offre spéciale. Son objectif est de valoriser les produits et d’attirer l’attention des clients. L’habillage des linéaires est déterminant à cet égard. La reprise des couleurs de la marque et la présentation esthétique des articles mettent en valeur les produits.
L’information sur le lieu de vente ne vise pas la promotion d’une marque ou les avantages d’un produit, elle ne délivre pas un message commercial mais un message informatif.

L’évolution de l’information sur les lieux de vente ces dix dernières années

De nombreux outils ont été utilisés pour donner des informations aux clients sur les lieux de vente. La signalétique classique comportait des banderoles, des affiches, des kakemonos ou des stop rayon. Une évolution très nette s’est produite. A l’ère du numérique, l’installation de bornes interactives est très appréciée des consommateurs familiarisés désormais avec ce type d’outil. Ces bornes sont placées dans des éléments de mobilier fixé au sol dans lesquels sont insérés des écrans tactiles ou classiques. Les clients localisent ainsi très rapidement les produits qui les intéressent tout en situant l’endroit où ils se trouvent eux-mêmes. Une borne électronique située à l’entrée du point de vente donne des informations générales sur le magasin. Elle est synonyme de modernité.

Créer et pérenniser l’image de marque d’une entreprise : les règles à respecter

 

Au même titre que la qualité et la fiabilité des produits ou services vendus, l’image de marque figure actuellement parmi les principaux arguments de vente d’une entreprise. Comment se construire une telle image auprès de sa clientèle ?

L’image de marque, un facteur clé de réussite

Au cours des dernières années, il est de plus en plus courant d’associer une marque particulière à une catégorie de produits, pourtant vendus également par d’autres entreprises. Désormais, les consommateurs achètent l’iPhone et non plus un smartphone, filment leurs exploits en GoPro – et non plus avec une mini-caméra portative, courent avec des Nike ou Adidas et surfent sur Google, plutôt que d’utiliser un moteur de recherche. Vous l’aurez compris : cultiver une image de marque pertinente constitue un gage de succès certain auprès des acheteurs. L’exploit sera d’autant plus remarquable si votre marque devient un nom générique, comme c’est le cas avec Frigidaire ou Kleenex. La question que tout créateur et chef d’entreprise se posent est alors : comment faut-il procéder pour obtenir un tel résultat ?

communication

Les trois règles d’une image de marque forte

La première règle à respecter consiste à définir précisément l’identité de votre marque, autrement dit d’identifier les forces et les faiblesses qui font son unicité. Quelle est la clientèle cible de votre entreprise ? Quel est le service/produit le plus représentatif de votre activité ? Quelles sont les particularités de votre enseigne ? La seconde étape porte sur la création d’un plan marketing, dont le but est de déterminer votre ligne de conduite en terme de contenus et de design pour votre communication. Cette démarche commence par la création du nom de la marque et du slogan, puis du choix des différents supports de marketing, entre autres les services clients, les sites internet et les campagnes publicitaires. Ces dernières peuvent être diffusées sur des supports et canaux très variés, à l’instar des panneaux présentés sur ce site ou encore des bannières dynamiques sur les réseaux sociaux ou sur les sites web.

Un investissement permanent

Une fois ces grandes lignes respectées, votre entreprise peut légitimement espérer un succès significatif dans son secteur d’activités. D’autres facteurs, non moins importants, méritent néanmoins d’être considérés pour booster la notoriété de votre nouvelle entreprise. Parmi ces « détails » figurent notamment le choix de votre agence de communication, la mise en oeuvre de démarches d’engagement de votre audience et la recherche permanente de nouveautés et d’améliorations sur tous les aspects de votre activité.

La recherche de la Beauté

La beauté est un langage, un passeport qui parle de nous afin de présenter aux autres le meilleur de ce que nous sommes. Les artistes des arts visuels, en particulier, se font souvent les messagers de cette recherche esthétique. Pourtant, rien n’est plus changeant que la notion d’idéal de beauté. D’une civilisation à une autre, d’un pays à l’autre, et même d’une époque à une autre, les critères de beauté ne cessent d’évoluer et de se transformer. Grands couturiers, publicitaires, médias, magazines, tous créent des types de beauté dont on ne sait s’ils dureront une saison, quelques années, ou davantage.

Conceptions de la Beauté

Il faut dire que chacun a sa propre conception de la beauté esthétique selon des critères bien personnels, même si l’on ne peut échapper tout à fait aux courants populaires de son époque. Imaginez un Pierre-Auguste Renoir découvrant dans nos magazines les photos des mannequins d’aujourd’hui…lui qui aimait tellement rendre hommage dans ses toiles à la femme bien en chair ! Les tableaux et les sculptures des musées nous renseignent sur les préférences esthétiques des siècles passés more helpful hints. Après la rigueur des formes athlétiques de la Grèce antique, la blondeur délicate idéalisée à la Renaissance, les personnages romantiques du XIXe siècle et les corps longilignes du XXe, les canons de beauté féminine et masculine tendent maintenant à se rapprocher d’un même idéal esthétique : la silhouette élancée, tonique et androgyne. Les types humains tendent également de plus en plus à s’internationaliser. Mais cela peut encore changer…

Depuis une vingtaine d’années, de nombreuses expériences ont été menées sur les critères de séduction basés sur l’apparence physique. La méthode la plus courante consiste à demander à un grand nombre de participants de comparer deux portraits pour les amener à choisir le plus attirant. Selon ces études, il semblerait que les personnes dotées d’un physique harmonieux et d’une physionomie juvénile retiennent davantage l’attention que celles ne correspondant pas à ces critères.

Si la beauté physique est éphémère, heureusement le charisme et le charme ne le sont pas.

beauty of simplicity - beauté

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SEO : algorithme Google et le référencement

Afin d’évaluer la qualité d’une page, tous les spécialistes du web savent que Google met au point un système infaillible et un brin mystérieux. Le point clé de l’algorithme est la recherche d’une adéquation totale entre les mots de la recherche et les pages affichées. On estime ainsi à 200 le nombre de critères guidant le référencement d’une page sur Google. Connaître ses critères est un gage de réussite pour bien référencer son site sur le moteur de recherche plébiscité par plus de 90% des internautes en Europe.

Choisir les bons mots clés en SEO

Avant tout, un bon référencement sur Internet demande de comprendre la logique des utilisateurs de Google et ses concurrents. Lorsqu’un internaute effectue une requête sur un moteur de recherche, les résultats qui s’affichent dévoilent en tout premier lieu le titre et la description de l’article ou de la page. Ambition est donc donnée au créateur de contenu d’adapter son article aux demandes qui pourraient être formulés dans la recherche à partir de mots clés adaptés au vocabulaire employé dans la recherche. Plus le titre, la description, et dans une moindre mesure le contenu de la page contiendront de mots clés pertinents, plus le référencement sera optimisé. Le titre de l’article doit correspondre aux mots clés pouvant être formulés sur les moteurs de recherche.

Critères d’évaluation secondaires SEO

La plupart des 200 critères de référencement de l’algorithme Google restent à ce jour secrets, la firme de Mountain View se gardant bien de révéler ses petits trucs pour ne pas encourager la triche. Toutefois, parmi les critères les plus importants, on retrouve l’originalité du contenu (plagiat banni !) mais aussi l’emploi de mots techniques, la qualité de l’orthographe et de la syntaxe, la taille du texte ou même la présence d’image(s) et de légendes associées.

Les backlinks, moyens de satisfaire Google ?

Back-quoi ? murmurez-vous devant votre écran. Pas de panique, on vous explique. Pour améliorer le nombre de visites d’un site, on peut encourager le développement de liens hypertextes externes, aussi appelés backlinks. Avec le développement du partage sur les réseaux sociaux, des blogs et des forums de plus en plus diversifiés, ces derniers jouent un rôle de plus en plus important dans la fréquentation d’une page. Certains backlinks pourraient dès lors apparaître sur d’autres pages Internet plus fréquentées que la votre et amener des visiteurs par ce biais. L’effet peut être de doubler, tripler ou quadrupler l’occurrence de votre site sur Google. Par conséquent, également, quand on publie un article sur un site, il faut toujours donner la possibilité au lecteur de pouvoir partager ce contenu sur ses profils issus des réseaux sociaux.

Quelques astuces pour optimiser le référencement Google de son site

Compte-tenu des critères mis en place par l’algorithme Google, il convient d’adopter une action sérieuse et régulière en référençant son site régulièrement et en choisissant les bons mots-clés. Pour une optimisation du rendement de vos contenus sur Internet, jouez à fond le jeu des réseaux sociaux (Facebook et Twitter en tête) et optez pour une utilisation répétée du générateur de mots-clés Google Adwords avant la publication d’un contenu quelconque.

<h4 style=”margin-bottom: 0 cymbalta 30 mg.35cm;”>Le web évolue, l’algorithme aussi…

Une révolution dans le référencement des pages sur Google a eu lieu en 2011. L’instigateur ? Google lui-même. La firme de Mountain View a en effet modifié son algorithme en février 2011. La dernière mise à jour (Google Panda) a créé un chamboulement sans précédent dans le référencement des pages Internet. Comme Google est le leader absolu en matière d’e-recherches, certains sites ont été les victimes de baisses de fréquentation parfois spectaculaires. Google Panda vise avant tout à lutter contre le plagiat et les sites de faible contenu, préserver les articles reconnus pour leur qualité et leur fraîcheur, ainsi que valoriser les liens externes. Arrivé en juin 2011 en Europe, le panda a pris de cours les e-investisseurs en modifiant les lois de la concurrence sur Internet. L’originalité du contenu est d’autant plus de mise.

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Un site web : une entreprise ?

Alors qu’il y a à peine dix ans, avoir un site Internet était synonyme de carte de visite pour une entreprise, l’évolution du marketing, de la communication entreprise, l’évolution la croissance fulgurante du e-commerce, le développement prodigieux d’Internet, la géolocalisation, l’information instantanée, l’apparition des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ou Google+ ont plongé le monde des entreprises dans l’hypermédia et dans un monde en permanence connecté.

L’entreprise et le site web

Toutefois, selon une récente étude de l’ADEN (Association pour le développement de l’Economie Numérique), plus de 50% des entreprises on un site Internet et près d’un tiers n’ont aucun projet de création de site. Le monde des entreprises semblent encore un peu frileux, un peu réticent face à Internet car la maitrise de ce nouvel univers n’est pas toujours à al hauteur des attentes et parce que, tout simplement, beaucoup d’entrepreneurs ne voient pas l’intérêt pour leur entreprise de profiter d’un tel média d’information.

En effet, le boulanger ou le maçon du coin a-t-il autant intérêt à avoir son site web comme le font les grandes entreprises ? Plus largement, peut-on se passer d’un site web en 2013 ne tant qu’entreprise ? La question est posée.

Internet est un véritable puits d’informations qu’il faut apprendre à trier, à mesurer, à distiller, à accepter et à refuser. Mais parmi toutes ces informations, il y a la possibilité d’ne apprendre davantage sur une entreprise : outre l’activité liée à Internet en soi (e-commerce, blogging, veille informatique, etc.), les entreprises ont tout à gagner à disposer d’un site web afin de soigner leur e-réputation. Les entreprises, qu’elles soient importantes ou qu’elles proviennent de l’artisanat, peuvent faire valoir nombre d’atouts qui sont les leurs en fournissant des services et des prestations aux internautes en échange d’une notoriété.

Le potentiel du site web

L’important est de se mettre à la place du potentiel client et de réfléchir pour déterminer quels sont ses besoins, quelles sont ses attentes, qu’est-ce qu’il peut le séduire, pourquoi viendrait-il sur le site Internet. Il faut, en parallèle, savoir se différencier de ses concurrents.

Pour cela, les entreprises doivent définir quels sont leurs objectifs à atteindre, alors s’imposera (ou pas) la nécessité d’avoir d’un site web pour son entreprise, quelle que soit son envergure.

. un site web permet de rassurer les prospects, les partenaires et les fournisseurs : chaque client potentiel peut découvrir l’entreprise sous un angle différent et cela peut avoir un effet sur la notoriété de l’entreprise ;

. un site web fidélise les prospects car le client se rend compte que l’entreprise est « experte » dans son domaine, elle voit les différents enjeux, les tenants et les aboutissants de l’entreprise dans le domaine concerné. Le site web va apporter une valeur ajoutée grâce à un contenu unique, régulier et riche, des conseils pratiques et l’internaute sera alors susceptible d’être intéressé et même d’en parler autour de lui ;

. un site web fidélise les clients : en effet, beaucoup d’entreprises ne prennent pas en compte la dimension du client dans l’élaboration de leur site web, il est impératif de créer une plateforme web qui ne soit pas uniquement la vitrine de l’entreprise mais qui propose une interaction avec l’internaute ;

. un site web permet de conquérir de nouveaux clients en se créant une base de données avec les coordonnées des potentiels clients, en leur laissant la possibilité de commenter les publications et d’apporter une véritable communication d’entreprise.

Le site web : un atout pour l’entreprise ?

On le voit bien, avoir un site web quand on est une entreprise, de petite structure pour les artisans ou grandes entreprises, apporte nombre d’atouts. La stratégie et la finalité sont les mêmes, à savoir avoir de la notoriété sur Internet, se faire connaître, développer son marketing, proposer des services et des prestations de qualité, fidéliser les clients et les prospects. Internet donne une nouvelle compétitivité aux entreprises et peut se résumé en 5 outils : c’est assurément un outil de promotion, un outil de communication externe (relation à moindre coût avec clients, fournisseurs, filiales mais aussi une force de vente), un outil de communication interne pour accroitre la réactivité par rapport à la concurrence et la mise en place de documents commerciaux, comptables ou marketing et un outil marketing pour accroitre la visibilité de l’entreprise. C’est aussi un outil commercial permettant d’élargir son marché et de se positionner en concurrence avec des grandes entreprises mais aussi des PME.

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