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La PLV écologique, un outil pour valoriser votre image de marque

L’image de marque de votre entreprise peut être améliorée grâce au choix des supports de promotion sur le lieu de vente (PLV) que vous allez faire.

L’idée n’est pas seulement de vendre des produits. Il faut aussi véhiculer un message fort à vos clients, partenaires et contacts.  Par exemple, avec de la PLV high tech (réalité augmentée, écrans interactifs), vous allez insuffler une touche de modernité à votre entreprise.

Pourtant, il n’y a pas besoin d’investir dans une technologie coûteuse pour avoir une image de marque positive et fédératrice. Il y a un autre levier sur lequel vous pouvez vous appuyer : la PLV éco-responsable (carton, bois, papier…). 

image de marque et PLV

Stop-rayon en carton chez Auchan

Incarnez votre image de marque de A à Z

A l’heure de l’urgence climatique et de la prise de conscience environnementale des consommateurs, il est important d’afficher un engagement éco-responsable authentique et cohérent. Tous les leviers marketing utilisés doivent donc s’inscrire dans une stratégie de communication globale.

La PLV est aussi une composante de votre image de marque, elle va venir renforcer votre positionnement.

Un exemple : l’hypermarché Auchan Les Hunaudières, au Mans (voir ici).  Pour créer une réelle proximité avec ses clients, le magasin mise sur un design épuré et lumineux, mais aussi sur une PLV responsable. Elle est ainsi essentiellement en bois ou en carton recyclé, et sa présence est plus discrète. Fini les couleurs criardes et tape-à-l-oeil, l’accent a été mis sur la sobriété et les teintes neutres. 

Un autre exemple (source) : le département de la Mayenne, qui accueille le tour de France, prévoit de placer des bâches imprimées sur les barrières de sécurité. Là encore, pour donner une image de marque moderne, et donc en phase avec les enjeux actuels, la protection de la planète est une priorité. Les techniques utilisées sont “écofriendly” : tissu polyester recyclé, encres sans additifs chimiques….  Le but est de tendre vers la neutralité carbone et le zéro déchet. 

Il peut d’ailleurs être intéressant de souligner la dimension écologique de votre PLV quand vous envoyez un communiqué de presse aux journalistes. Vous renforcerez ainsi la crédibilité de votre entreprise.

Live shopping : le téléshopping “nouvelle génération”

Le téléachat, rendu populaire avec l’émission “Téléshopping” de TF1, vit une deuxième jeunesse grâce aux réseaux sociaux. On parle désormais de “live shopping”, mais la logique est la même : une démonstration produit, en direct, pour inciter à acheter.

En Chine, ce marché devrait dépasser les 154 milliards de dollars (source). En France, les marques investissent massivement dans ce nouveau format

Les premières études attestent de l’enthousiasme des consommateurs pour ce concept. Ils sont 28% à vouloir utiliser le live shopping dans les 6 prochains mois (source), même s’ils ne sont actuellement que 3% à avoir franchi le cap. De plus, parmi les moins de 25 ans, près de 7 femmes sur 10 considèrent qu’il s’agit d’un mode d’achat innovant.

Ainsi, c’est un format à suivre !

live shopping

Le live shopping : un support avec un maximum d’interactivité

L’intérêt de ce nouveau média est de créer un réel lien avec les clients.

D’abord grâce au direct, qui donne une dimension événementielle à la présentation des produits. Il est d’ailleurs fréquent de voir un influenceur présenter ce type d’opération. Pour pousser à l’achat, il est aussi fréquent de proposer des produits en avant-première ou d’offrir des promotions exclusives.

De plus, le live shopping permet de “surfer” sur les temps forts marketing de l’année.  Par exemple, Carrefour a profité de l’Euro 2021 de football pour vendre des téléviseurs, des enceintes ou des écouteurs (source). 

Ensuite, les sessions peuvent aussi rester accessibles en replay, ce qui permet de toucher une large audience.  Le contenu est alors partagé, ce qui alimente le bouche à oreilles.  Fanny Bénéteau, directrice stratégique chez OP1C, conseille de bien choisir sa plateforme de diffusion, par exemple en privilégiant TikTok ou Youtube si la cible est visée est jeune. Facebook et Instagram sont plus appropriés pour les enseignes grand public (source). 

Enfin, autre avantage et non des moindres, cette approche permet de lever immédiatement les éventuels blocages des acheteurs. Pendant le live, ils peuvent poser leurs questions sur les réseaux sociaux, et donc recevoir immédiatement une réponse, des conseils et même des retours d’expérience.  Il est donc beaucoup plus facile de les inciter à commander !

Et vous, qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà tenté l’expérience du live shopping ? 

 

Tendance marketing : les marques passent au recyclage

Tendance marketing, engagement sincère, volonté de respecter des obligations RSE ou de la future loi anti-gaspillage  ? Dans tous les cas, un constat s’impose : les grandes marques sont de plus en plus nombreuses à communiquer sur leur pratiques éco-responsables.

Même s’il s’agit parfois de greenwashing, cette nouvelle attitude témoigne d’une prise de conscience des attentes des consommateurs.

En effet, à l’heure de l’urgence climatique et de la crise sanitaire, ces derniers veulent faire des emplettes en adéquation avec leurs valeurs. Ainsi, 67% des Européens achètent des produits meilleurs pour l’environnement, même s’ils sont plus chers (source). 

A leur échelle, les commerçants et les e-commerçants, même les plus petits, ont donc aussi intérêt à agir pour lancer des initiatives “éco-friendly” qui feront sens pour leurs clients.  L’idée est de mixer des actions écologiques (ex : utiliser de la PLV en carton) et d’autres qui sont davantage dans une dynamique “économie circulaire”.

Voici quelques exemples d’actions de Collecte et de Recyclage mises en place récemment :

tendance-marketing

Mattel veut recycler les poupées Barbie

Le marché du jouet, nullement impacté par la crise sanitaire (source), est souvent pointé du doigt pour le gaspillage qu’il génère. 120 000 tonnes finissent ainsi à la poubelle chaque année en France…

Les Barbie n’échappent pas à la règle, ni les autres jouets Mattel. La marque américaine réagit à ce problème en lançant le programme “Mattel PlayBack”. Cette opération de collecte, gratuite pour les particuliers, va permettre de récupérer les poupées Barbie,  petites voitures Matchbox et jeux de construction Mega. 

Les jouets seront ensuite recyclés par l’organisme TerraCycle. Ils vont devenir de petits granulés de plastique puis donner naissance à de nouveaux objets (ex : bancs urbains).  En parallèle, Mattel travaille aussi à la conception de jouets éco-conçus. 

D’autres illustrations de cette tendance marketing très “green”

  • Hasbro, également en partenariat avec TerraCycle, collecte et recycle le jeu de société Monopoly et Puissance 4, ainsi que le jouet Mon Petit Poney. 
  • L’Oréal a installé 330 bornes de collecte TerraCycle dans les magasins Carrefour. Avec un objectif : encourager le recyclage des emballages de maquillage (source).
  • Maître Coq a déployé 44 points de collecte dans les entreprises, les établissements scolaires et les locaux associatifs. Tous ses emballages de volaille pourront ainsi être recyclés (source) ;
  • Cristaline recycle ses bouteilles en plastique, qui sont collectées dans les Haut de France via des Ecobox implantées chez Lidl (source).
  • Orange renforce sa démarche de collecte de mobiles en lançant le programme “Re” (source).

Et vous ? Avez-vous lancé des opérations “recyclage” dans le cadre de votre activité professionnelle ? 

 

Stop-rayon “nouvelle génération” : désormais, c’est le produit qui bouge !

Il y a le stop-rayon classique, celui qui est utilisé dans tous les magasins et dont l’efficacité n’est plus à démontrer.

Mais désormais, il y a aussi…le produit qui s’anime tout seul ! Cette technologie fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux : les vidéos qui montrent cette innovation sont devenues virales.

Imaginez : un client passe dans un rayon et c’est une boite de biscuit qui l’interpelle pour l’inciter à l’acheter ! Le directeur commercial de l’agence de publicité Optimark estime (source) que les ventes peuvent augmenter jusqu’à +150% en fonction des produits (contre +20% avec les supports PLV classiques). 

Zoom sur une PLV dynamique qui n’a pas fini de faire parler d’elle. 

Un support qui réinvente le stop-rayon

Ce robot, déjà déployé dans plusieurs pays, permet de réaliser des campagnes personnalisées.  Il est notamment possible de modifier le volume, sonore, de choisir la distance à laquelle il s’enclenche ou encore le temps d’attente avant de l’activer.

Ce petit boitier présente aussi l’avantage d’être durable. Il peut ainsi être utilisé pour de nombreux produits et campagnes, et conservé dans le temps. Il n’y a donc plus besoin de jeter les supports des campagnes après quelques semaines (ce qui est le cas avec les stop-rayons ou kakémonos classiques).

Plusieurs marques de la grande distribution ont récemment utilisé ce nouvel outil  : Ferrero et les Kinder CéréAlé, Le Chat, Président…

stop-rayon

Avant de généraliser l’utilisation de ces boitiers, il faut toutefois réfléchir à la mise en place d’une stratégie marketing pertinente tant pour les marques que pour les enseignes. Le risque majeur ? Banaliser cette technologie, ce qui pourrait avoir pour effet de lasser, voire d’irriter les consommateurs.

L’objectif doit être de créer la surprise, d’attirer le regard, sans agacer. Il faut donc trouver le bon dosage pour ne pas déclencher une réaction de rejet.  L’enjeu est d’autant plus important que la fréquentation des hypermarchés est en net recul (source) et que les Français sont aussi de plus en plus nombreux à utiliser le Drive. Il ne faudrait donc pas faire fuir les clients avec une publicité jugée trop intrusive !

Et vous, qu’en pensez-vous ? 

Publicité sur podcasts : un format d’avenir ?

Encore marginale en France, la publicité sur podcasts se développe rapidement aux Etats-Unis. Ainsi, en 2018, les dépenses publicitaires sur ce format ont augmenté de 53% (source). 

Dans notre pays, les annonceurs commencent aussi à s’intéresser de près au format audio. La pandémie de Covid-19 a en effet considérablement changé les habitudes média de nos compatriotes. Un chiffre à retenir : en novembre dernier, le seuil des 104 millions d’écoutes en téléchargement ou en streaming auprès de 5 éditeurs a été franchi (source). 

Les petites et moyennes entreprises, les commerçants et les artisans gagneraient aussi à investir dans la publicité sur podcasts. Voici pourquoi.

publicité sur podcasts

1 – Les podcasteurs sont les nouveaux influenceurs

Comme les blogs, les chaînes YouTube et les réseaux sociaux, les podcasts prennent une importance grandissante et sont suivis par des communautés engagées.

Diffuser un spot publicitaire, sponsoriser un programme ou participer directement/indirectement à une émission permet ainsi de toucher une audience qualifiée, susceptible de générer des ventes

Les chiffres sont éloquents (source) :

  • 80% des auditeurs de podcasts trouvent que les publicités qui sont diffusées sur ce support sont authentiques ;
  • 60% ont déjà acheté un produit après en avoir entendu parler via leur programme favori ;
  • 70% sont capables de citer le nom des marques entendues dans les publicités sur podcasts.

2 – La publicité sur podcasts permet d’avoir une stratégie ciblée

Il y a toute sorte de podcasts. Certains sont créés par des médias qui ont pignon sur rue (ex :journaux, radios et chaînes TV) ; d’autres sont lancés par des entreprises privées ou même par des particuliers passionnés. 

Des plus connus aux plus confidentiels, ils ont la plupart du temps un point commun : chaque podcast porte généralement sur une thématique précise (ex : le vin, l’histoire, la gastronomie, la musique, l’art, la finance, l’entrepreneuriat, etc). L’audience peut aussi être très ciblée (hommes ou femmes, ados/adultes/seniors, CSP…).

Les publicités diffusées sont donc particulièrement impactantes et permettent d’optimiser son ROI

3 – Un support accessible à toutes les entreprises

Les podcasteurs consacrent beaucoup de temps à concevoir leurs programmes. Ils sont donc ouverts aux partenariats avec les marques pour monétiser leur contenu

Ce qui peut se faire à moindre coût : il existe des plateformes comme Loudli permettant de sélectionner rapidement des podcasts en fonction de son budget, de l’audience visée et du message à faire passer. 

Les publicités diffusées sont alors dites “natives” et la plupart du temps, c’est le présentateur qui lit le script dans le fichier audio (on parle d'”host-read”). Ce dernier agit ainsi comme un influenceur, augmentant alors le taux de mémorisation de la marque

Et vous, avez-vous déjà expérimenté la publicité sur podcasts  ?