Monthly Archives: mai 2009

Carton, cartonnage et publicité

Le cartonnage et la PLV

Leader des matières utilisées pour la création des outils en PLV jusqu’en 2007 (37 %), le carton voit sa position affaiblie par Carton et plvl’émergence des matières plastiques plus sophistiquées. En 2008, il ne représentait plus que 20 % des matériaux utilisés. (1)

Cependant, cette tendance est encore trop récente pour en tirer des conclusions sur le long terme. Le marché de la communication vient de connaître des modifications structurelles importantes : l’impact de la crise économique, l’investissement massif en PLV d’enseignes spécialisées dans la cosmétologie, les récentes avancées technologiques…sont autant de facteurs qui expliquent le recours à de nouveaux matériaux même dans les supports de la PLV traditionnelle.

Le carton conserve toutefois de nombreux atouts par rapport aux matières plastiques.

Plus économique, obtenu avec un minimum d’encombrement et de faibles impératifs techniques, il offre une grande latitude à la créativité pour assurer la promotion sur le lieu de vente.

La Fédération Française du Cartonnage (2) souligne que « le cartonnage PLV est essentiellement dynamique puisqu’il peut se renouveler fréquemment : en un mot il est vendeur ! ».

Patrick Robert, PDG d’Idea Forme (spécialiste du merchandising) confirme : « L’éphémère demeure un bon secteur d’évolution. Nous contribuons en qualité de testeur des marques, par notre création PLV carton, aux lancements de nouveaux produits, un mouvement constant tout au long de l’année » (3)

Le carton peut d’ailleurs être couplé avec d’autres matières premières pour créer de nouveaux supports de vente entièrement innovants.

Ferrero a choisi cette solution pour créer une boutique éphémère en plein cœur du centre commercial de la Défense, à Paris, et nommée « L’Avenue Ferrero ». (4) Cette idée originale, composée de dispositifs modulables construits sur la base de grandes arches et de panneaux (en carton et en bois) recréant l’univers de la marque, est d’ailleurs nominée aux Popai Awards Européens 2009 (5).

Si l’intérêt financier présenté par le carton n’est plus à démontrer, il faut aussi situer le recours à ce mono-matériau dans une perspective plus globale.

Le choix du carton est en effet porteur d’une véritable démarche identitaire de la part de l’entreprise.

Matériau recyclable par excellence, il véhicule les valeurs de l’enseigne en matière de développement durable : en optant pour un engagement responsable, les entreprises répondent aux inquiétudes des consommateurs.

L’affichage de cette prise de position éthique n’est toutefois intéressant que s’il reflète une orientation réelle de l’entreprise en matière d’écologie.

Les enseignes qui seraient tentées de communiquer sur un produit biodégradable alors que leurs politiques générales ne respectent pas les normes environnementales (on parle alors de « greenwashing » ou « blanchiment écologique »), fragilisent largement le capital confiance dont elles bénéficient auprès du consommateur, ce qui peut se révéler catastrophique en période de crise.

L’enjeu est pourtant essentiel, tant au niveau du respect de l’environnement que de celui de l’image de marque de l’enseigne : le développement durable représente le troisième critère de choix des acheteurs, après le coût et la qualité. (6)

Et pour 74% des Français (7), les publicités pour des marques ou des entreprises mettant en avant des effets bénéfiques pour l’environnement retiennent leur attention (IFOP – décembre 2007).

L’impact de cette prise de conscience collective est conséquent.

Certains publicitaires se sont même regroupés au sein d’un Collectif (Collectif des publicitaires pour l’éco-innovation) pour guider les choix futurs des professionnels du secteur. (8).

Face à ce contexte, le choix du carton pour la mise en place d’actions promotionnelles sur le lieu de vente revêt une ampleur stratégique.

Chez Mars PF, Christine Valentin, responsable du développement durable du département achat, a mis en avant l’action volontariste de l’enseigne : privilégier et faciliter le recyclage sont devenus une priorité. Le choix de la PLV carton s’est alors imposé «en raison de sa biodégradabilité. » (9)

Dans un proche avenir, les présentoirs en carton devraient donc à nouveau être plébiscités par les entreprises. Un groupe de travail sur le recyclage de la PLV, dirigé par Jean-Louis Paul (PDG des Cartonnages Gil) a même été créé à l Institut Français de la communication et de la publicité sur le lieu de vente.

Sources :

1 – Popai France, Institut Français de la communication et de la publicité sur le lieu de vente ()

2 – Fédération Française du Cartonnage

3 – Marketing Point de Vente

4 – Marketing-professionnel.fr

5 – Popai Awards Européens 2009

6 – IMS Groupe, Plate-forme de services pour l’édition et la PLV

7- IFOP décembre 2007 sur le développement durable

8 – Collectif des publicitaires pour l’éco-innovation

Octave Mouret ou le commerce triomphant -II-

Le palais de la consommation

Zola présente au lecteur le palais qui va tout à l’heure accueillir une foule venue pour adorer et consommer.

« Vers deux heures, un piquet d’ordre dut faire circuler la foule et veiller au stationnement des voitures. Le palais était construit, le temple élevé à la folie dépensière de la mode. Il dominait, il couvrait un quartier de son ombre. Déjà, la plaie laissée à son flanc par la démolition de la masure de Bourras, se trouvait si bien cicatrisée, qu’on aurait vainement cherché la place de cette verrue ancienne ; les quatre façades filaient le long des quatre rues, sans une lacune, dans leur isolement superbe.

Sur l’autre trottoir, depuis l’entrée de Baudu dans une maison de retraite, le Vieil Elbeuf était fermé, muré ainsi qu’une tombe, derrière les volets qu’on n’enlevait plus ; peu à peu, les roues de fiacres les éclaboussaient, des affiches les noyaient, les collaient ensemble, flot montant de la publicité, qui semblait la dernière pelletée de terre jetée sur le vieux commerce ; et, au milieu de cette devanture morte, salie des crachats de la rue, bariolée des guenilles du vacarme parisien, s’étalait, comme un drapeau planté sur un empire conquis, une immense affiche jaune, toute fraîche, annonçant en lettres de deux pieds la grande mise en vente du Bonheur des Dames. On eût dit que le colosse, après ses agrandissements successifs, pris de honte et de répugnance pour le quartier noir, où il était né modestement, et qu’il avait plus tard égorgé, venait de lui tourner le dos, laissant la boue des rues étroites sur ses derrières, présentant sa face de parvenu à la voie tapageuse et ensoleillée du nouveau Paris. Maintenant, tel que le montrait la gravure des réclames, il s’était engraissé, pareil à l’ogre des contes, dont les épaules menacent de faire craquer les nuages. D’abord, au premier plan de cette gravure, la rue du Dix-Décembre, les rues de la Michodière et Monsigny, emplies de petites figures noires, s’élargissaient démesurément, comme pour donner passage à la clientèle du monde entier.

Puis, c’étaient les bâtiments eux-mêmes, d’une immensité exagérée, vus à vol d’oiseau avec leurs corps de toitures qui dessinaient les galeries couvertes, leurs cours vitrées où l’on devinait les halls, tout l’infini de ce lac de verre et de zinc luisant au soleil. Au-delà, Paris s’étendait, mais un Paris rapetissé, mangé par le monstre : les maisons, d’une humilité de chaumières dans le voisinage, s’éparpillaient ensuite en une poussière de cheminées indistinctes ; les monuments semblaient fondre, à gauche deux traits pour Notre-Dame, à droite un accent circonflexe pour les Invalides, au fond le Panthéon, honteux et perdu, moins gros qu’une lentille. L’horizon tombait en poudre, n’était plus qu’un cadre dédaigné, jusqu’aux hauteurs de Châtillon, jusqu’à la vaste campagne, dont les lointains noyés indiquaient l’esclavage. »

Zola : Au Bonheur des Dames

Source : inlibroveritas

Animation originale : le jukebox électronique

Le nouveau jukebox électronique programmable !

De la musique et de la vidéo à volonté

Le jukebox ! Voici la renaissance d’un outil d’animation qui a fait la joie de générations d’utilisateurs en créant une convivialité autour de morceaux de musiques.  L’arrivée du CD sonna sa disparition.  L’arrivée des techniques de compression de données permettant de gérer le flux musical comme un flux informatique ordinaire permet sa renaissancr (penser à l’universel MP3 !). Nous vous présentons ci-dessous un jukebox électroniquepermettant une animation musicale et vidéo de qualité, facile à gérér qui peut convenir aux professionnels comme aux particuliers.

le jukebox électronique modèle "Premier"

PRESENTATION TECHNIQUE DU MODELE « PREMIER PRO » et « PREMIER PRIVE »

SYSTEME du JUKEBOX

Architecture-système entièrement électronique: toutes opérations de sélection/chargement/lecture des morceaux programmables s’opèrent sans aucun appareillage mécanique.

► Ecran d’interface tactile 19′ technologie résistive 5 fils (taches et salissures n’altèrent pas son fonctionnement):

  • Page d’accueil (Pro) comportant fonctions: mode d’emploi; horloge; fenêtre d’inscription Nom de l’Artiste/Titre du morceau en cours de lecture s’il y en a un; accès gratuit aux pages de programmation/sélection par simple impulsion du doigt en n’importe quel endroit de l’écran.
  • Pages de programme et sélections comportant chacune 50 étiquettes avec nom de l’artiste et de la chanson; deviennent actives pour la sélection (tactile) à partir de l’insertion des pièces appropriées dans le monnayeur (Pro). Bouton de navigation de chaque côté de l’écran pour passer d’une page à la suivante ou à la précédente (passage immédiat). Barre d’indication du nombre de chansons à sélectionner en rapport à la somme introduite, avec déduction du nombre restant après chaque sélection (Pro). Fenêtre d’inscription Nom de l’Artiste/Titre du morceau en cours. Fenêtre d’indication à l’utilisateur des trois derniers morceaux qu’il a sélectionnés. Bouton de consultation de la Playlist (c’est-à-dire des morceaux en instance de lecture – s’il y en a – dans l’ordre de leur programmation).

► Accès gestion système par trappe arrière à serrure de sûreté:

  • Chargement ou modification de la programmation par clé USB: l’interface recevant la clé contenant les fichiers est équipée d’un système à voyants (rouge/vert), pour permettre à l’administrateur de savoir quand le processus de chargement est terminé à partir de l’insertion de la clé. L”initialisation (ou la réinitialisation) de la programmation ou de ses changements est en suite automatique à l’écran dans chaque étiquette concernée.
  • L’administrateur dispose de la possibilité d’ouvrir un écran de maintenance par capteur d’empreinte fonctionnant par reconnaissance digitale (Pro): l’écran ouvre sur 3 choix possibles: 1) Mode programmation sous-traitée (insertion de la Clé fournie, pour une programmation calibrée en 200 titres sur 4 pages); 2) Programmation personnelle (libre choix du nombre de morceaux et du nombre de pages – jusqu’à 500 morceaux sur 10 pages); 3) Consultation du nombre de fois où chaque morceau a été sélectionné sur un laps de temps donné (avec possibilité de remise à zéro).
  • Sortie pour haut-parleurs additionnels.
  • Sortie pour écran vidéo (le système peut accepter des fichiers audio-visuels).
  • Accès caisse du monnayeur (Pro). Il accepte toutes pièces de 10 cts à 2 €. Ne rend pas la monnaie.

► Audio: alimentation et ampli spécifiques, 2 x 60 Watts:

  • 2 haut-parleurs en position haute latérale angles inférieurs écran.
  • 1 caisson de basses de 100 Watts en position centrale basse.

► Attractivité lumineuse: système de leds (avec interrupteur) inséré à l’arrière du capot supérieur de façade.

► Télécommande infrarouge pour fonctions Marche/Arrêt et volume sonore (bouton réglage manuel arr. machine

Le jukebox électronique

Octave Mouret ou le commerce triomphant -1-

A Paris le temple du commerce : le Bonheur des Dames

Dans un Paris mis à ses pieds, Emile Zola décrit le triomphe d’Octave Mouret, l’ancien commis de “Pot-Bouille” à la tête du grand Magasin le Bonheur des Dames.

“Et la force qui balayait tout, l’emportait à son tour, elle dont la venue devait être une revanche. Mouret avait inventé cette mécanique à écraser le monde, dont le fonctionnement brutal l’indignait ; il avait semé le quartier de ruines, dépouillé les uns, tué les autres ; et elle l’aimait quand même pour la grandeur de son oeuvre, elle l’aimait davantage à chacun des excès de son pouvoir, malgré le flot de larmes qui la soulevait, devant la misère sacrée des vaincus.

La rue du Dix-Décembre, toute neuve, avec ses maisons d’une blancheur de craie et les derniers échafaudages des quelques bâtisses attardées, s’allongeait sous un limpide soleil de février ; un flot de voitures passait, d’un large train de conquête, au milieu de cette trouée de lumière qui coupait l’ombre humide du vieux quartier Saint-Roch ; et, entre la rue de la Michodière et la rue de Choiseul, il y avait une émeute, l’écrasement d’une foule chauffée par un mois de réclame, les yeux en l’air, bayant devant la façade monumentale du Bonheur des Dames, dont l’inauguration avait lieu ce lundi-là, à l’occasion de la grande exposition de blanc. C’était, dans sa fraîcheur gaie, un vaste développement d’architecture polychrome, rehaussée d’or, annonçant le vacarme et l’éclat du commerce intérieur, accrochant les yeux comme un gigantesque étalage qui aurait flambé des couleurs les plus vives. Au rez-de-chaussée, pour ne pas tuer les étoffes des vitrines, la décoration restait sobre : un soubassement en marbre vert de mer ; les piles d’angle et les piliers d’appui recouverts de marbre noir, dont la sévérité s’éclairait de cartouches dorés ; et le reste en glaces sans tain, dans les châssis de fer, rien que des glaces qui semblaient ouvrir les profondeurs des galeries et des halls au plein jour de la rue. Mais, à mesure que les étages montaient, s’allumaient les tons éclatants. La frise du rez-de-chaussée déroulait des mosaïques, une guirlande de fleurs rouges et bleues, alternées avec des plaques de marbre, où étaient gravés des noms de marchandises, à l’infini, ceignant le colosse.

Puis, le soubassement du premier étage, en briques émaillées, supportait de nouveau les glaces des larges baies, jusqu’à la frise, faite d’écussons dorés, aux armes des villes de France, et de motifs en terre cuite, dont l’émail répétait les teintes claires du soubassement. Enfin, tout en haut, l’entablement s’épanouissait comme la floraison ardente de la façade entière, les mosaïques et les faïences reparaissaient avec des colorations plus chaudes, le zinc des chéneaux était découpé et doré, l’acrotère alignait un peuple de statues, les grandes cités industrielles et manufacturières, qui détachaient en plein ciel leurs fines silhouettes. Et les curieux s’émerveillaient surtout devant la porte centrale, d’une hauteur d’arc de triomphe, décorée elle aussi d’une profusion de mosaïques, de faïences, de terres cuites, surmontée d’un groupe allégorique dont l’or neuf rayonnait, la Femme habillée et baisée par une volée rieuse de petits Amours.”

Zola. Le Bonheur des Dames
Source “in Libro Veritas”

photo : Ivan Floriani – Fotolia.com

Guirlande publicitaire – guirlande de fanions et plv

La guirlande de pavoisement et la PLV

Le pavoisement trouve son origine dans le vocabulaire de la marine : il s’agissait du résultat et de l’action d’étendre les pavois (l’ensemble des pavillons). Au fil du temps, ce terme s’est répandu pour véhiculer l’idée de l’ornement et des outils permettant de se faire reconnaître.

Cette volonté d’afficher son identité et de se différencier a logiquement trouvé sa place en marketing et en publicité : le visuel est l’élément prépondérant d’une stratégie de communication.

En PLV, il existe une palette d’outils très diversifiés pour permettre aux enseignes de diffuser leurs argumentaires commerciaux auprès du consommateur. Parmi eux, la guirlande est une véritable aubaine pour établir une signalétique efficace sur le lieu vente.

D’abord, la guirlande offre un rapport qualité / prix imbattable, surtout en cette période de crise :

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  • Elle est très économique

Utilisée seule ou en complément d’une opération de PLV plus conséquente, la guirlande est adaptée à tous les budgets. Qu’il s’agisse de lancer un nouveau produit, de faire connaître une action temporaire en magasin ou encore d’annoncer l’installation d’un point de vente, chaque enseigne peut y trouver son compte.

Les délais de fabrication sont courts, et les moyens techniques modernes permettent d’imprimer une quantité de guirlandes qui corresponde à la réalité de l’évènement envisagé.

Ainsi, l’impression numérique est idéale pour les opérations d’évènementiel puisqu’elle peut être mise en œuvre à partir d’une seule pièce, tout en offrant un excellent rendu des photos et des illustrations.

Pour les grandes quantités, c’est l’impression sérigraphique qui sera privilégiée : l’aspect et la tenue des couleurs est alors incomparable, et les prix sont dégressifs en fonction du nombre de pièces imprimées.

Facile à stocker et à transporter, elle ne présente aucune contrainte particulière pour le transport ou l’installation sur le lieu de vente.

  • Elle est personnalisable

Qu’il s’agisse d’une opération promotionnelle temporaire ou au contraire d’assurer la visibilité de la marque sur le long terme, la guirlande peut être personnalisée.

Traditionnellement composée de fanions géométriques, elle se décline désormais dans toutes les tailles et dans toutes les formes.

Quant au choix des matières, il est aussi très étendu : papier, plastique mais aussi tissu sont les supports de l’expression créative des enseignes. Sans oublier les guirlandes lumineuses qui peuvent judicieusement venir compléter le dispositif promotionnel.

En décembre 2008, GDF Suez a ainsi illuminé les Champs Elysées à Paris avec des guirlandes dotées d’ampoules basse consommation dans le cadre de son opération marketing sur Gaz de France Dolce Vita. (1)

Dans le même registre, Samsung LCD a créé une campagne de marketing viral en diffusant une vidéo insolite sur internet : des moutons avaient été habillés avec des guirlandes lumineuses et les chiens de bergers orchestraient les mouvements du troupeau pour créer des figures artistiques… (2)

Cette idée originale illustre parfaitement les tendances à venir pour une utilisation inventive des supports de la PLV traditionnelle. Les produits de PLV peuvent alimenter les médias du marketing alternatif (street marketing, marketing viral…) pour se matérialiser ensuite en magasin.

La guirlande de pavoisement a donc encore de beaux jours devant elle, et ce d’autant plus qu’elle peut aussi se positionner sur le secteur des outils d’une PLV plus écologique. Elle devient alors un des supports de la communication éthique de l’entreprise en matière de développement durable.

Par exemple, les guirlandes en papier sont respectueusement de l’environnement : l’industrie papetière présente un taux de recyclage élevé (75 %) et les vernis, colles et pelliculages sont de plus en plus propres. (3)

  • Elle est utilisable pour l’intérieur ou pour l’extérieur

La guirlande est l’alliée des campagnes promotionnelles in store mais aussi out store (elle peut d’ailleurs être spécialement traitée et certifiée contre le feu).

En extérieur, elle devient un support intéressant car elle va devenir un élément mobile : le vent va donner lui donner du mouvement et attirer ainsi le regard des clients.

La guirlande est aussi un bon média pour informer les clients qu’un évènement temporaire se déroule à l’intérieur du magasin. Autre avantage : elle est visible de très loin !

Sources :

1 – Emarketing.fr (Article «  Gaz de France DolceVita illumine les Champs-Elysées »)

2- Culture buzz ( Article “Samsung présente des moutons lumineux”)

3 – Newsletter Popai novembre 2008

4 – Emarketing.fr

5 – Strategies