Monthly Archives: décembre 2012

Promotion et publicité : quels rapports ?

Opérations promotionnelles et campagnes publicitaires : quels rapports, quelles frontières ?

Si la publicité et la promotion ont, en dernier ressort, le même but, – faire acheter un produit -, elles diffèrent dans leurs pratiques. La publicité agit sur le long terme : elle est le moyen de faire connaître les valeurs d’une enseigne, de valoriser son image de marque et de fidéliser sa clientèle. La promotion agit ponctuellement : elle est l’art d’attirer efficacement le client, de le pousser à l’achat. La première agit donc en profondeur sur l’image, la notoriété d’une marque, sa valeur ajoutée ; elle a pour vecteur principal les médias. La seconde a un impact immédiat sur les prix et est avant tout une opération de terrain.

Opérations promotionnelles

Les opérations promotionnelles doivent attirer les clients sur les lieux mêmes de la vente : c’est ce que l’on appelle la PLV, ou MLV, le marketing sur le lieu de vente. Si elles présentent essentiellement des baisses de prix compétitives aux clients, les opérations promotionnelles peuvent aussi prendre d’autres formes :

  • Primes : cadeaux à l’achat de tel produit, en particulier pour les enfants ;

  • Opérations thématiques liées aux saisons (Foire aux vins, promotions de rentrée, de Noël, etc.) ;

  • Mise en avant des produits en tête de gondole ;

  • Produits-girafes, mis en valeur par empilements ;

  • Visuels dans les magasins ;

  • Animations-démonstrations ;

  • Annonces diffusées régulièrement par haut-parleur ;

  • Jeux gagnants ;

  • Ventes-flash ;

  • Mise en scène du magasin, théâtralisation pour la mise en valeur les produits ;

  • Réductions sur un rayon ou une catégorie de produits grâce aux prospectus ;

  • Recrutement de nouveaux clients, en particulier dans le domaine de la téléphonie, avec des réductions sur l’achat du téléphone ou sur le contrat souscrit.

Campagnes publicitaires

Une campagne publicitaire a pour but de faire connaître un nouveau produit ou d’augmenter la consommation d’un produit déjà existant, de fidéliser une clientèle ou de débaucher celles des marques concurrentes. Son objet est moins d’informer sur la nature d’un produit que de séduire une clientèle, en lui mettant en avant l’avantage qu’elle retirera de l’utilisation du produit et en lui promettant, à travers l’achat, la satisfaction d’un désir ou d’un besoin. Pour cela, elle use de différents moyens :

  • Création d’une argumentation qui comporte une part informative, une part affective qui doit séduire le consommateur, et une part conative qui l’engage à l’action, c’est-à-dire à l’achat ;
    Spots publicitaires à la télévision, à la radio, au cinéma ou sur le web, encarts dans la presse écrite : ce que l’on nomme le plan média ;
  • Campagnes d’affichage sur les murs, le mobilier urbain, les bus ou les taxis ;
  • Bannières publicitaires grâce au Web-marketing ;
  • SMS publicitaires sur les téléphones mobiles ;
  • Accroissement de la notoriété d’une marque qui sera associée à l’image d’une star ou d’une personnalité charismatique ;
  • Communication événementielle par laquelle il s’agit d’organiser un événement mondain, comme un salon, un festival, une soirée ou une remise de prix, dans le but de communiquer sur une entreprise ou sur une marque.

Frontières poreuses

Si les opérations promotionnelles, fondée essentiellement sur les rabais, participent d’un système de persuasion simple et directe, elles doivent cependant éviter de tomber dans la banalisation, mais jouer, au contraire, comme les campagnes publicitaires, des pouvoirs de séduction et d’évocation de l’image. De même, si l’impact d’une opération promotionnelle doit être immédiat sur les ventes, il doit aussi être enrichissant pour l’image d’une marque.

Les opérations promotionnelles joueront donc de la proximité et permettront de porter sur le terrain les stratégies publicitaires et d’en éprouver l’efficacité. Face à une concurrence de plus en plus rude et à des clients plus avertis, tout à la fois exigeants sur la qualité et désireux de se faire plaisir, campagnes publicitaires et offres promotionnelles demandent donc l’une et l’autre une créativité toujours plus grande, qui sortira l’objet du lot.

Publicité

 

Webmarketing : Facebook VS Twitter, La Guerre De L’image

Facebook s’impose en leader incontesté du partage de contenu en ligne, mais qu’en est-il de sa crédibilité en matière de webmarketing ? Twitter ou même Google+ sont-ils plus adaptés dans le cadre de la promotion d’une image de marque, et quels publics cibler par conséquent via ces réseaux sociaux ?

Si la grande force de Facebook réside dans sa simplicité d’appropriation et d’usage, cette qualité est également une faiblesse. Aujourd’hui, la firme de Marc Zurckerberg est première sur tous les publics. Elle s’impose sur tous les sites comme un moyen de partager des articles ou une page d’un simple clic. Toutefois, le leader Facebook semble pâtir d’un déficit d’image auprès des quadras et plus…

Plébiscité par les ados et les jeunes, mais relativement boudé par leurs parents, et encore plus par leurs aînés, le réseau social au petit « f » semble parfois trop intrusif en matière de vie privée. Sûrement parce qu’il fut le premier du genre. Les fonctionnalités offertes, notamment l’instantanéité des échanges et leur publication à tous, simple et immédiate, ont fait tomber quelques barrières de la vie privée. Cette rapidité effraie quelque peu les moins jeunes. Les multiples bouleversements de la politique de confidentialité ont laissé craindre le pire à des générations qui restent attachées à une certaine discrétion. Une part non négligeable des plus de 40 ans a préféré ne pas s’y inscrire : Facebook est un monde peuplé de jeunes, avec de nombreux parents surtout venus pour les surveiller (voire les espionner !) et retrouver quelques copains d’enfance. Les premiers consomment beaucoup en direct et consultent en ligne, les seconds détiennent le porte-monnaie. Tous sont touchés par les publicités présentes sur la barre latérale droite, mais un peu trop présentes, celles-ci peuvent écorner l’image du site vers une dérive publicitaire qui agace. Partager sur Facebook touche un large public, mais se révèle plus approprié à certaines cibles bien ciblées, plutôt dans la catégorie des grands consommateurs en ligne. Le webmarketing y tend à se révéler moins qualitatif en terme d’image et de perception du contenu. Il faut donc réellement se dégager du caractère publicitaire et des liens lorsqu’on publie sur Facebook, intéresser par un contenu plutôt qu’être intrusif.

Sur Twitter, c’est différent. La politique des hashtags (#) a impulsé une dynamique de partages des liens, propice au clic ! Le webmarketing est une composante essentielle de Twitter. Le placement de produits y est plus facile, mieux intégré à la politique et au fonctionnement du site. On n’est pas certain que tous les utilisateurs de Twitter en comprennent les rouages, mais ces derniers semblent mieux les accepter que sur le réseau social au petit “f”. Être sur Twitter relève principalement d’un choix assumé pour se démarquer d’une présence sur Facebook qui correspond davantage à un effet de mode. Les adeptes de Twitter sont plus inter-générationnels et sélectifs dans leurs abonnements. Pas besoin de trop ruser pour y faire du webmarketing, on colle à son public. Tant qu’on est capable de l’intéresser pour de bon, en proposant des tweets pertinents, on est à la bonne place.

Internet : petit rappel

Internet est un réseau informatique mondial constitué d’un ensemble de réseaux nationaux, régionaux et privés. L’ensemble utilise un même protocole de communication : TCP/IP (Transmission Control Protocol Internet Protocol).

Internet propose trois types de services fondamentaux :

  • le courrier électronique (e-mail) ;

  • le Web (les pages avec liens et contenus multimédia de ses sites Web) ;

  • l’échange de fichiers par FTP (File Transfer Protocol).

Alliance de l’informatique et de la communication, le réseau Internet est de plus en plus utilisé pour la transmission de documents électroniques : textes, fichiers, images, sons et séquences audiovisuelles, ainsi que pour les communications téléphoniques.

Le but d’Internet est de relier entre eux tous les ordinateurs du monde. Les utilisateurs d’Internet sont désignés par le terme d’internautes et « surfent » sur le net ou sur la « toile ». Toutes les informations du réseau sont accessibles à partir des sites Internet.

Historique du réseau internet

En 1962, l’US Air Force demande à un groupe de chercheurs de créer un réseau de communication militaire capable de résister à une attaque nucléaire.

Paul BARAN, en 1964, eut l’idée de créer un réseau sous forme de grande toile.

Le réseau expérimental ARPANET (Advanced Research Projects Agency ) vit le jour en 1969 afin de relier quatre instituts universitaires. Il fut le précurseur d’Internet.

En 1971, Ray TOMLINSON mit au point un nouveau mode de communication, le courrier électronique (E mail, courriel).

En 1972, Lawrence G. ROBERTS parvint à améliorer ce système et à lister, archiver, répondre ou faire suivre un courriel.

Dès lors, ce mode de communication n’aura de cesse de croître, pour devenir la principale utilisation du réseau au début du XXI° siècle.

En 1990, Tim BERNERS-LEE, chercheur au CERN de Genève, mit au point le protocole HTTP (Hyper Text Transfer Protocol) ainsi que le langage HTML (Hyper Text Markup Language) permettant de naviguer à l’aide de liens hypertextes à travers les réseaux du monde entier.

Le World Wide Web (www.), littéralement « toile d’araignée mondiale », plus communément appelé le Web est né.

Améliorer la gestion de son e-business

Prenez le contrôle de votre e-business

Aujourd’hui, le monde du business électronique ne cesse de s’agrandir. Beaucoup de sociétés mettent en ligne leurs produits dans l’optique de convertir un visiteur en client. Mais cela reste encore très peu rentable et loin des attentes, car peu de visiteurs arrivent à finaliser totalement leur achat. Si votre entreprise se situe dans ce cadre, c’est que vous ignorez encore l’existence de l’outil iadvize et les moyens pour offrir une satisfaction clients ne sont pas trouvés. Découvrez donc la solution iadvize et vous serez plus que satisfait de l’ampleur de vos activités.

En quoi consiste la solution iadvize ?

Des sondages ont montré que 80% des visiteurs sur un site de e-commerce finaliseraient leur commande en ligne si seulement ils avaient reçu une assistance. C’est dans cette optique qu’iadvize permet de détecter certaines personnes ayant des doutes par apport aux produits, afin de proposer une assistance. Ainsi, vous avez la facilité de transformer n’importe quel visiteur en un client potentiel qui vous permettra de gagner de l’argent.

Fonctionnement d’iadvize

Iadvize est une application web disposant d’un service de messagerie instantanée qui est communément appelé solution de clicktotalk. Cette dernière est secondée par le click to call qui vous offre la possibilité de réaliser des appels. Une fois que vous adhérez à l’utilisation de cette application, vous n’aurez qu’à intégrer à votre plate-forme de vente le click to call ainsi que le click to tchat. Ainsi, dès qu’un client se connecte à cette page de vente en ligne, il pourra vous contacter plus aisément et rapidement soit par la messagerie instantanée, soit par un appel au service chargé de la clientèle de votre site. En cas de souci, le client recevra des conseils de la part de conseillers expérimentés. De plus, les conseillers de la présente boutique en ligne ont suivi une longue formation théorique et pratique leur permettant d’évaluer en un laps de temps, les préférences de n’importe quel client afin de lui proposer une aide. Cette technique est d’une efficacité redoutable et elle permet de transformer bon nombre de visiteurs en clients. Aujourd’hui plus de 800 personnes font confiance à la solution d’iadvize. Pourquoi pas vous ?