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Vendre : quels sont les temps forts à ne pas manquer en 2019 ?

Pour vendre, il faut communiquer et lancer des opérations marketing ciblées, y compris en ligne. Pour y parvenir, les entreprises, surtout les plus petites, n’ont pas le choix : elles doivent impérativement ANTICIPER !

En effet, il ne faut pas sous-estimer le temps nécessaire à la réflexion, à la création et à la mise en place d’actions véritablement efficaces. De plus, si vous espérez obtenir des retombées médias, il faut penser à envoyer vos communiqués de presse aux journalistes trois à quatre mois avant chaque événement récurrent (comme la fête des mères ou la saint-valentin par exemple).

Oui mais…comment s’y prendre quand on se lance ou quand on a peur d’oublier les dates importantes qui font vendre davantage ?

BDM a eu la bonne idée de proposer en accès libre un calendrier social media récapitulant des principaux temps forts en Le site de l’apport d’affaires et du B2B sur internet et en BtoC.

Voici quelques conseils pour l’utiliser avec efficacité :

vendre

1) Listez dès maintenant les événements importants pour votre activité : vendre

Prenez le temps de consulter toutes les dates listées mois par mois dans le calendrier social media proposé par BDM. Au-delà des grands classiques (Rentrée scolaire, fêtes de fin d’année, vacances, pâques, nouvel an chinois…) vous découvrirez sûrement des événements ayant un lien direct ou indirect avec votre activité : Journée mondiale de la cuisine italienne, Carnaval de Venise, Journée nationale du Sommeil, Journée Européenne de la Mer, Journée Mondiale du coloriage, Journée de l’Environnement, etc…

Quels sont les événements qui sont susceptibles de générer des ventes dans votre secteur, de vous positionner en tant qu’expert (salons pro, etc…) ou de fédérer (tournois sportifs) ?

2) Classez les temps forts par ordre de priorité

Priorisez les dates clés en fonction des ventes escomptées et du budget que vous pouvez allouer à chaque fois.

3) Planifiez dès à présent les actions à réaliser en amont

Rédiger des emails promotionnels, actualiser votre site web, éditer des catalogues, aménager votre espace de vente…Il y a une foule de choses à faire ! Si vous voulez être prêt(e) le jour J et réussir à vendre, il faut envisager de façon concrète le temps requis par chaque action et vous fixer des échéances bien en amont. Cela vous évitera en prime d’être submergé de travail au dernier moment en réalisant tout ce qu’il vous reste à faire pour être pleinement opérationnel !

Les différents types d’impression numérique

Bien que le principe de base de l’impression numérique reste identique, il existe de nombreuses techniques d’impression numérique.

Impression numérique par jet d’encre

L’impression jet d’encre s’utilise sur un très large choix de support : papier, textile, matière plastique, verre, etc. Il s’agit du seul procédé d’impression où il n’y a pas de contact direct avec le support ni d’image latente ou temporaire de créée dans le processus d’impression. C’est la forme d’impression Le site de la plv numérique et des écrans la plus courante à l’heure actuelle. Le principe d’impression est simple : un réservoir d’encre liquide est comprimé extérieurement. Cette surpression provoque l’évacuation d’une goutte ou d’un jet continu d’encre. Cette pression est effectuée soit mécaniquement avec le recours à un cristal piézoélectrique qui se déforme lors d’une impulsion électrique soit thermiquement par dilatation ou vaporisation. La génération d’un flux continu d’encre, de l’anglais « Continuous Ink Jet » ou CIJ, permet une impression rapide mais en limite la qualité d’impression. L’éjection au goutte à goutte, dénommée « Drop On Demand » (DOD) en anglais, permet, elle, des impressions de grande qualité au détriment, par contre, de la vitesse d’impression.

Impression numérique par Ionographie

L’ionographie, ou en anglais, « electron beam imaging » crée l’image latente par projection d’ions chargés. Pour ce faire, il est nécessaire de recourir à trois électrodes : deux pour ioniser l’air et la troisième pour guider les ions (principalement des électrons) sur le tambour. Cette technique s’avère être surtout employée par la société Xerox pour réaliser des presses très rapides. Elle permet de limiter les problèmes de repérage du fait que les étapes de transfert de fixation sur le toner sont regroupées. Cependant, il importe de noter que la qualité, et, surtout la résolution de cette technique reste assez faible du fait qu’il demeure difficile d’affiner et de conserver une zone ionisée durant tout le processus.

impression numérique : équipement

Impression numérique : équipement

Impression numérique par magnétographie

Il s’agit d’un procédé plus complexe, et, moins répandu, surtout utilisé pour des impressions monochromes. Il a été développé au début des années 80 par le groupe français Bull. La magnétographie consiste à produire temporairement une image magnétique sur un cylindre métallique, grâce à un réseau d’électro-aimants. Cette image latente est révélée à l’aide d’un toner constitué d’une poudre magnétique à base de fer. Le transfert sur papier s’effectue le plus souvent par pression. Le cylindre est ensuite débarrassé des résidus de toner puis démagnétisé, et le cycle recommence. Cette technique possède de sérieux atouts. Elle permet une impression très rapide, jusqu’à 800 pages format A4 par minute tout en conservant une durabilité importante ! Très récemment, des presses permettant des impressions en quadrichromies ont été développées et commercialisées. Cette branche particulière de l’impression numérique a donc de bonnes perspectives d’avenir.

Impression numerique par électrophotographie LASER ou Xerographie

Ce procédé tire son origine de l’invention de la Xérographie par la société Xerox, en 1938. Le principe de fonctionnement est là encore simple à décrire : tout d’abord, le film ou le tambour est chargé négativement selon le principe de l’ « effet Corona ». Ensuite, un laser décharge localement les parties ne devant pas recevoir l’impression et engendre ainsi un schéma invisible de charge électrostatique appelé « image latente ». Grâce au phénomène électrostatique, le toner est attiré sur le film photorécepteur sensibilisé par le rayon laser. Dernière étape : le toner est déposé sur le support d’impression puis fixé thermiquement après un ultime passage dans un four.

Autres procédés d’impression numérique

Il existe d’autres procédés, moins courants tel l’elcographie et la thermographie par sublimation ou par transfère. Ces solutions d’impressions numériques sont moins usuelles et servent pour des applications précises. Exemple-type : l’impression d’un code barre sur des étiquettes autocollantes. A noter également le travail des laboratoires de recherche et développement qui testent notamment des procédés chimiques non polluants.