Monthly Archives: octobre 2009

Exposition universelle de Paris : 1889, épisode III

Le choix du plan général de l’Exposition universelle de Paris, 1889

Plan général définitif. Dispositions adoptées. — Quelles conditions ce plan devait-il remplir. Un des projets primés y satisfaisait-il?

Il convenait, pour s’en rendre compte, de remonter aux raisons mêmes qui avaient fait décider l’organisation de l’Exposition. On voulait fêter le Centenaire de 1789, mais la grandeur du but à atteindre imposait aux organisateurs une lourde charge. Il fallait que l’oeuvre produite fut en rapport avec le résultat à obtenir; il fallait que l’Exposition à créer fût non seulement cligne de ses devancières, mais encore plus importante et plus belle, s’il était possible, afin de bien montrer qu’aucune manifestation aussi complète de la puissance, de l’énergie et de l’activité industrielle et commerciale d’un peuple ne s’était encore produite.

La nécessité de faire grand, mais grand sans froideur, sans sécheresse, s’imposait donc absolument : dans les lignes générales, la conception devait être assez souple pour allier une certaine gaîté de forme et d’impression à la majestueuse ordonnance des dispositions d’ensemble.

Il y avait lieu, en outre, d’éviter que l’Exposition de 1889 ne fût la répétition plus ou moins corrigée de ses devancières, qui étaient des oeuvres remarquables sous bien des rapports. Elle devait être autre chose et quelque chose de mieux. Tel était le problème posé. Faire grand, plus grand que par le passé, n’était pas chose facile, étant donné le choix de l’emplacement. Si on voulait utiliser toutes les surfaces mises à la disposition de l’administration, on risquait de compromettre la circulation publique, qui voyait englober dans l’enceinte fermée une partie des rues les plus importantes de la rive gauche, assurant la communication du centre de Paris avec les quartiers du Gros-Caillou et de Grenelle.

Eiffel panography
photo credit: gadl

On put remédier à cet inconvénient en renonçant à occuper les principales voies comprises clans le périmètre assigné, et en faisant communiquer entre elles par des passerelles les différentes parties de l’Exposition séparées par ces voies. On assurait ainsi l’utilisation continue de la surface considérable reconnue nécessaire.

Toutefois, la grandeur de l’étendue même pouvait avoir ses inconvénients ; il y avait à craindre que du nombre considérable d’objets exposés naquît la confusion, la difficulté pour les visiteurs de se reconnaître dans cet ensemble si considérable. On put parer à cette difficulté en affectant des groupes de constructions déterminées à des expositions spéciales, et c’est pour ce motif que les Beaux-Arts, les Arts libéraux, les Machines, l’Agriculture, les Produits alimentaires ont eu leur palais distinct, et qu’on a fait une exposition d’Horticulture complètement séparée dans le parc du Trocadéro. Il eût été impossible d’aller plus loin clans cette division sans enlever tout caractère d’unité à l’oeuvre entreprise et sans être amené, par raison d’économie, à ne plus élever que des hangars, tandis que les dispositions adoptées permettaient encore de donner à chaque édifice un aspect monumental qui ne déparait pas l’ensemble.

En outre, s’il était indispensable qu’un ordre rigoureux présidât à la répartition des espaces et que les agencements permissent de se reconnaître facilement au milieu de ces installations si variées, il n’était pas moins nécessaire que l’Exposition se présentât sous un aspect riant et gai, capable de séduire les visiteurs, et on ne pouvait mieux arriver à ce résultat qu’en donnant une très large place aux jardins. Il était sage enfin de faire la part de l’imprévu et de réserver d’assez grandes surfaces pour les bonnes volontés de la dernière heure. Les nations étrangères se montraient hésitantes au début, les exposants semblaient redouter les dépenses d’installations isolées. Ces dispositions pouvaient se modifier dans la suite: il fallait en conséquence, prévoir que des emplacements seraient nécessaires pour donner satisfaction à des demandes tardives, et les mettre en réserve.

Eiffel Tower at night
photo credit: Alarzy

Toutes ces considérations suffisent à indiquer qu’aucun des projets primés n’assurait entièrement le résultat poursuivi et à justifier le plan général de l’Exposition, qu’il importe maintenant d’expliquer en détail.

L’effort principal se concentra sur le Champ de Mars, où des espaces entièrement libres laissaient un plus large essor à l’imagination et permettaient de faire preuve de force et d’originalité dans la conception.

A la limite même du Champ de Mars, formant une entrée de dimensions colossales, la Tour Eiffel devait s’élever au milieu du parc. Chacune de ses arcades servirait de cadre aux motifs principaux de décoration de l’Exposition : celles de droite et de gauche aux dômes des palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux; celles du milieu, au Dôme central.

Au pied de la Tour, un jardin anglais de dimensions considérables étendrait au loin ses tapis de verdure, ses massifs d’arbustes exotiques, jusqu’au bas des larges terrasses, et pénétrerait jusqu’au centre de l’Exposition, apportant partout la lumière et la vie.

En bordure, sur les avenues de Suffren et de La Bourdonnais, et au delà de l’ancien parc du Champ de Mars, les palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux, avec leur décoration de terres cuites et leurs dômes étincelants, devaient encadrer le jardin, comprendre chacun une nef principale et deux bas-côtés à deux étages, donner abri à de nombreux restaurants et offrir aux visiteurs fatigués un repos favori pour écouter la musique des kiosques.

Au fond, et fermant l’horizon devant l’École militaire, l’immense Galerie des Machines, avec sa nef unique au monde de 115 mètres d’ouverture, avec ses bas-côtés à deux étages, occuperait le Champ de Mars dans toute sa largeur.

Enfin, entre ces deux ensembles, les reliant l’un à l’autre, les galeries des Industries diverses, avec le Dôme central formant l’entrée d’honneur, devaient compléter les dispositions adoptées. Rien ne devait être négligé pour donner à ce monde nouveau l’animation qui en ferait un des principaux charmes. Des pavillons nombreux et élégants disséminés clans les espaces réservés du Champ de Mars, le long des avenues de Suffren et de La Bourdonnais, offriraient leurs distractions aux promeneurs. Au pied de la Tour, l’histoire de l’Habitation humaine formerait le plus curieux et le plus instructif des musées en plein air. Le soir, les Fontaines lumineuses constitueraient une des attractions les plus nouvelles offertes à la curiosité d’un public difficile à étonner.

A l’extrémité du Champ de Mars, le bas port de l’île des Cygnes serait couvert de constructions destinées aux Expositions maritimes.

Pour le Trocadéro, l’appropriation était tout indiquée : il s’agissait d’organiser auprès des Musées permanents du Palais une Exposition d’Horticulture d’une richesse et d’une variété exceptionnelles. Le terrain s’y prêtait à merveille : pelouses à perte de vue pour encadrer les corbeilles de fleurs, arbres touffus dont l’ombre garantirait les plantes les plus délicates, larges avenues pour installer des tentes, tout concourrait à faire de l’emplacement choisi un admirable parterre.

Sur le quai d’Orsay, les deux longues avenues d’un kilomètre et demi laissées à la disposition des organisateurs ne pouvaient guère être utilisées qu’au moyen de galeries légères dont la monotonie devait être rompue par la distribution, çà et là, de palais spéciaux d’un caractère distinct. Ainsi, de l’avenue de La Bourdonnais à l’esplanade des Invalides, 27000 mètres seraient concédés aux constructions de l’Agriculture, coupées successivement par les Palais des Produits alimentaires, du Portugal, de l’Espagne. L’esplanade des Invalides était attribuée à une catégorie toute spéciale d’exposants et appelée à être une des parties les plus intéressantes de la future Exposition.

Paris
photo credit: geoftheref

L’Algérie, la Tunisie, les Colonies françaises et les pays de protectorat, les colonies néerlandaises donneraient aux visiteurs l’illusion de la réalité sous forme d’édifices d’une originalité charmante.

En face de ces constructions, l’Esplanade, dans sa partie ouest, était affectée aux pavillons des Postes et Télégraphes, du Ministère de la Guerre, de l’Hygiène, de l’Économie sociale, et à la Société de secours aux blessés militaires.

Là finirait l’Exposition : elle ne franchirait pas la Seine à cet endroit. Le Palais de l’Industrie, en dehors des concours temporaires, était réservé aux fêtes.

Contrairement au voeu de la Commission d’études, on avait renoncé à jeter sur la Seine un pont qui, pour ne pas gêner la circulation sur le quai de la Conférence, aurait dû être élevé de 6 mètres au-dessus du parapet des Invalides, et aurait coupé la belle perspective du Trocadéro.

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Source

Titre : Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Monographie. Palais, jardins, constructions diverses, installations générales, par A. Alphand,… avec le concours de M. Georges Berger,… Publication achevée sous la direction de M. Alfred Picard,… accompagnée d’un atlas de 219 planches. Tome 1

Auteur : Berger, Georges (1834-1910)

Auteur : Alphand, Adolphe (1817-1891)

Éditeur : J. Rothschild (Paris)

Date d’édition : 1892-1895

Contributeur : Exposition internationale (1889 ; Paris). Éditeur scientifique

Sujet : Paris, Exposition, 1889

Type : monographie imprimée

Langue : Français

Publicité : la publicité végétale, les noms de domaine, la retouche d’images

Bucarest - Calea Victoriei - 15-03-2008 - 18h35
photo credit: Panoramas

– Publicité et écologie : la naissance de la publicité 100 % végétale

C’est sans doute une réponse intelligente à la pollution visuelle qui guette les secteurs à fort trafic automobile. Une publicité 100 % végétale vient de faire son apparition sur le périphérique parisien, à hauteur de la porte de Clichy.

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– La publicité influence le choix des noms de domaines

La publicité tient aujourd’hui une place prépondérante dans la stratégie d’exploitation d’un nom de domaine. Pourtant, s’agissant du .TEL, ce principe n’était pas initialement pris en compte. Mais tout change…

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– Publicité et retouche d’images : la fin du glamour ?

Mini séisme dans le monde de l’image : un projet de loi visant à apposer une étiquette “retouchée” sur chaque photo modifiée via un logiciel informatique pourrait bien changer l’allure des magazines féminins. Sans parler de l’impact de ce dernier sur le paysage visuel global… Le texte proposé par la député UMP Valérie Boyer s’appliquerait en effet également à la publicité, aux photos d’art, aux visuels de packaging, etc…

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PLV : simplifier la PLV, impression numérique, la plv dynamique

LiloStitch2-3D.jpg
photo credit: dpcom.fr

– Simplifier la PLV pour aider les revendeurs

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– Imprimerie numérique et PLV : la différenciation par la technologie

Grâce au cationique, l’imprimerie Fossey (14) prend une longueur d’avance et attaque le marché de la PLV en petite série : le séchage est instantané sans chauffer le support et il offre une accroche parfaite, y compris sur des supports très fermés

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– PLV dynamique : les consommateurs aiment les interfaces tactiles

D’après une étude réalisée par l’Institut StrategyOne au mois d’août dernier, 80% des français disent posséder au moins un objet intégrant une technologie tactile. (…)Cette technologie à présent largement répandue en téléphonie mobile, peut également s’appliquer à la promotion in store.

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Notre épisode : l’exposition Universelle de 1889 à Paris

Les résultats du Concours d’Organisation de l’Exposition universelle de 1889

Le concours prévu par la Commission d’études eut lieu au mois de mai 1886; il donna naissance à de nombreux et remarquables projets.

Le Jury chargé du jugement décerna les prix de la manière suivante (les concurrents étant classés ex-oequo pour chaque catégorie de récompenses par ordre alphabétique) :

Trois primes de 4000 fr. à MM. Dutert, Eiffel et Sauvestre, Formigé; trois primes de 2000 francs à MM. Cassien-Bernard et Nachon, de Perthes, Raulin; six primes de 1 000 francs à MM. Ballu, Fouquiau, Jochereau et Girault, Paulin, Pierron, Vaudoyer;

Six mentions honorables à MM. Blondel, Claris et Morel, Roux, Gaston Hénard, Simil, Walwein et Bertsch-Proust.

Les premiers prix du Concours

M. Dutert avait tenu avant tout à assurer la gaîté de l’ensemble. Près des deux tiers de la surface totale de son Exposition étaient occupés par des jardins où se dressaient ça et là des constructions légères. Un immense hall destiné aux machines, matières premières et objets fabriqués, s’étendait de l’avenue de Sufiren à l’avenue de La Bourdonnais, faisant face à l’Ecole militaire. Deux séries de galeries parallèles descendaient de ses extrémités vers la Seine et se terminaient par de grands pavillons réservés aux Beaux-Arts français et étrangers. Au centre de la partie du parc qui les séparait se dressait la Tour de 300 mètres.

Tout autre était l’impression produite par le projet de MM. Eiffel et Sauvestre. La Tour de 300 mètres devenait avec eux la porte gigantesque de l’Exposition et l’un de ses principaux objets de curiosité. C’était le triomphe de l’art de l’ingénieur : les bâtiments étaient construits presque uniquement en fer, affectant la forme d’un immense fer à cheval. Le rez-de-chaussée devait abriter les machines, et 1e premier étage les groupes divers. A l’intérieur, de gracieux parterres tempéraient la sévérité de cette ceinture métallique. Au fond, un très joli pavillon, dit de l’Electricité, venait également adoucir la rudesse de l’ensemble.

Chez M. Formigô, on sentait le désir de faire constater sa réputation de dessinateur hors pair. Aucun de ses concurrents n’offrait de façade aussi étudiée, réunissant au même degré des qualités d’élégance et de grandeur. Dans les détails, une certaine analogie avec les plans de M. Dutert : môme emplacement choisi pour la Tour, les Beaux-Arts; mêmes dispositions des lignes générales et des surfaces réservées aux plantations. A côté de ces ressemblances, des différences notables dans les divisions des surfaces consacrées aux exposants. La grande galerie parallèle à l’Ecole Militaire était uniquement réservée aux Machines. Les produits français étaient nettement séparés de ceux de l’étranger, en deux séries qui fermaient les sections diverses.

Le trait commun à ces trois projets était l’affectation d’un espace plus ou moins grand aux fleurs et à la verdure.

Les second prix du Concours

Les esquisses classées en seconde ligne n’avaient, au contraire, en vue que de conserver aux exposants le plus de terrain possible.

MM. Cassien-Bernard et Nachon donnaient à leur construction la forme rectangulaire. Dans ce projet, les galeries longeant les avenues de La Bourdonnais et de Suffren devaient renfermer les Machines; le dernier côté du quadrilatère appartenait à l’exposition du Travail. A l’intérieur et* au centre, le pavillon de la “Ville de Pains, précédé et suivi de salons fermés. Enfin, comme disposition particulièrement originale, mais peu pratique, les auteurs du projet plaçaient la Tour de 300 mètres à cheval sur la Seine, en face le Palais de l’Industrie, ce palais faisant partie intégrante de l’Exposition.

M. de Perthes avait des souvenirs du plan adopté en 1878 : son projet était complet et distribuait d’une façon pratique la superficie concédée. Les Machines occupaient le même emplacement que chez MM. Cassien-Bernard et Nachon; les groupes divers venaient ensuite et s’étendaient à droite et à gauche des Beaux- Arts. La Tour se profilait à l’extrémité de l’Exposition.

M. Raulin présentait un ensemble qui se rapprochait sur certains points de celui de MM. Eiffel et Sauvestre. Le Palais du Champ de Mars, chez lui aussi, avait la forme d’un fer à chevalla Tour de 300 mètres occupait également la place d’honneur. Ce qui en faisait l’originalité, c’étaient les proportions gigantesques de la conception. La façade côté du quai comprenait deux lignes de cintres très décorés, dominant des portiques à niveau du sol qui se détachaient des flancs de la Tour; les Beaux-Arts et les Arts décoratifs étaient installés à droite et à gauche de l’entrée. Les différents produits se rangeaient par nature dans l’ordre suivant, pour former autant d’expositions circulaires et concentriques : Produits alimentaires, Matières premières, Vêtement, Mobilier; les Machines prenaient place au centre, dans l’axe delà Tour. Ce projet avait en outre utilisé d’une manière très remarquable la berge de la Seine pour la construction d’une série de pavillons destinés aux colonies, dont l’aspect vu des quais devait être très pittoresque.

Les troisième prix du Concours

Les projets classés en troisième ligne se rapprochaient de ceux qui précèdent, soit par la forme générale, soit par des détails, et réduisaient le travail de la Commission des travaux â l’étude de ceux qui ont été décrits plus haut, et parmi lesquels la Commission avait dès lors chance de trouver le plan définitif.

Présentation iconographique des diférents projets

Concours Exposition universelle 1889 : projet Formigé

Concours Exposition universelle 1889 : projet Formigé

Concours Exposition universelle 1889 : projet Formigé plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Formigé plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Perthes-Eiffel

Concours Exposition universelle 1889 : projet Perthes-Eiffel

Concours Exposition universelle 1889 : projet Perthes Eiffel plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Perthes Eiffel plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Cassien-Bernard

Concours Exposition universelle 1889 : projet Cassien-Bernard

Concours Exposition universelle 1889 : projet Cassien-Bernard plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Cassien-Bernard plan de masse

Concours Exposition universelle 1889 : projet Raullin

Concours Exposition universelle 1889 : projet Raullin

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Source :

Titre : Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Monographie. Palais, jardins, constructions diverses, installations générales, par A. Alphand,… avec le concours de M. Georges Berger,… Publication achevée sous la direction de M. Alfred Picard,… accompagnée d’un atlas de 219 planches. Tome 1

Auteur : Berger, Georges (1834-1910)

Auteur : Alphand, Adolphe (1817-1891)

Éditeur : J. Rothschild (Paris)

Date d’édition : 1892-1895

Contributeur : Exposition internationale (1889 ; Paris). Éditeur scientifique

Sujet : Paris, Exposition, 1889

Type : monographie imprimée

Langue : Français

Marketing : les marques et facebook, le marketing relationnel, les nouveaux gourous du marketing

Humana Visión - Ecuador
photo credit: Arturo de Albornoz

– Les marques sous l’influence de facebook

Les marques ont longtemps été considérées comme ‘persona non grata’ – c’est-à-dire indésirables – dans l’univers du 2.0… Néanmoins, il semblerait que la tendance s’inverse et qu’elles aient appris à jouer avec les codes implicites des blogs et autres réseaux sociaux

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– Le marketing relationnel dans la grande distribution

La grande distribution a adopté le Web pour gérer sa relation avec ses clients fidèles. Mais comment s’y prend-elle ? Sur quels thèmes communiquent les enseignes ? Quels sont leurs axes de développement ? L’institut de pige publicitaire Hors Media & Internet Le Site Marketing fait le point sur leurs pratiques, au travers de son étude Panotrade 2009.

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– Gourou du marketing à 12 ans

Les dirigeants américains passent tous leurs caprices aux petites filles. Prêts à tout pour séduire ces consommatrices en herbe, ils les recrutent désormais pour décrypter les tendances chez les préadolescents.

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